Renault a présenté ses chiffres d’une année 2021 où le groupe a pu opéré des résultats satisfaisants. Après deux années particulièrement difficiles, le constructeur amorce une nouvelle dynamique.
Dans un contexte de baisse de production provoquée par la crise des semi-conducteurs ainsi qu'une hausse du prix des matières premières Renault Group a largement dépassé ses objectifs financiers 2021. Le constructeur a enregistré un résultat net de 967 millions d'euros, grâce notamment à une augmentation de ses prix de vente.
Le résultat d’une stratégie bien définie
Des résultats qui interviennent après le lancement début 2021 de la stratégie dénommée 'Renaulution' et en ce sens Luca de Meo, le directeur général a laissé entendre : ''cela reflète le rythme soutenu auquel avance la transformation en profondeur du groupe, initiée dans le cadre de Renaulution".
La directrice financière de Renault, Clotilde Delbos s'inscrit dans la même lancée en ajoutant: "cette performance est liée aux premiers succès de la stratégie du Groupe, favorisant la valeur au volume, et à sa stricte discipline financière. Cela nous a permis d'atteindre de façon pérenne et avec un ou deux ans d'avance certains objectifs de Renaulution". Malgré ces résultats le groupe ne versera cependant pas de dividende.
Des résultats qui interviennent après le lancement début 2021 de la stratégie dénommée 'Renaulution' et en ce sens Luca de Meo, le directeur général a laissé entendre : ''cela reflète le rythme soutenu auquel avance la transformation en profondeur du groupe, initiée dans le cadre de Renaulution".
La directrice financière de Renault, Clotilde Delbos s'inscrit dans la même lancée en ajoutant: "cette performance est liée aux premiers succès de la stratégie du Groupe, favorisant la valeur au volume, et à sa stricte discipline financière. Cela nous a permis d'atteindre de façon pérenne et avec un ou deux ans d'avance certains objectifs de Renaulution". Malgré ces résultats le groupe ne versera cependant pas de dividende.
Dette en voie d'être épongée
En effet, Renault qui a avait contracté une dette de 4 milliards d'euros garantis par l'État français pour traverser la pandémie, a fait l'annonce d'un remboursement avec deux milliards dès cette année, dont un par anticipation sur 2023. La totalité du prêt sera remboursée au plus tard fin 2023.
Pour cette année, le constructeur prévoit malgré l'impact conséquent de la crise des semi-conducteurs, notamment sur le premier semestre, une perte de 300.000 véhicules sur la production 2022. Sa marge opérationnelle sui était de 4,8% en 2019, -0,8% en 2020 et 3,6% en 2021 devrait cette année être supérieure ou égale à 4%.
En effet, Renault qui a avait contracté une dette de 4 milliards d'euros garantis par l'État français pour traverser la pandémie, a fait l'annonce d'un remboursement avec deux milliards dès cette année, dont un par anticipation sur 2023. La totalité du prêt sera remboursée au plus tard fin 2023.
Pour cette année, le constructeur prévoit malgré l'impact conséquent de la crise des semi-conducteurs, notamment sur le premier semestre, une perte de 300.000 véhicules sur la production 2022. Sa marge opérationnelle sui était de 4,8% en 2019, -0,8% en 2020 et 3,6% en 2021 devrait cette année être supérieure ou égale à 4%.
Ventes sur le marché européen
Selon des chiffres publiés jeudi le mois de janvier s'est avéré épouvantable pour les ventes de voitures avec l'impact de la pénurie de puces électroniques. Au total c'est 682.596 voitures vendues dans l'Union européenne, ce qui constitue le pire mois de janvier pour les constructeurs depuis le début de la série statistique en 1990, avec -6% par rapport au record bas de janvier 2021, a précisé l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA).
En France, le marché a enregistré une baisse à deux chiffres par rapport à janvier 2021 avec -18,6%. C'est le cas dans les principaux marchés du vieux continent. En atteste ces données : la Belgique à -10%, les Pays-Bas à -11,3%, l'Italie à -19,7% et la Pologne à -10,2%. C'est un effet inverse positif qui a été noté du côté de l'Allemagne avec 8,5% par rapport à un mois de janvier 2021 très faible, alors que le marché de l'Espagne restait stable à +1%.
Selon des chiffres publiés jeudi le mois de janvier s'est avéré épouvantable pour les ventes de voitures avec l'impact de la pénurie de puces électroniques. Au total c'est 682.596 voitures vendues dans l'Union européenne, ce qui constitue le pire mois de janvier pour les constructeurs depuis le début de la série statistique en 1990, avec -6% par rapport au record bas de janvier 2021, a précisé l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA).
En France, le marché a enregistré une baisse à deux chiffres par rapport à janvier 2021 avec -18,6%. C'est le cas dans les principaux marchés du vieux continent. En atteste ces données : la Belgique à -10%, les Pays-Bas à -11,3%, l'Italie à -19,7% et la Pologne à -10,2%. C'est un effet inverse positif qui a été noté du côté de l'Allemagne avec 8,5% par rapport à un mois de janvier 2021 très faible, alors que le marché de l'Espagne restait stable à +1%.
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