La version du réseau spécifiquement dédiée aux entreprises n'était jusqu'à présent qu'un pilote en version bêta. Elle devrait être officiellement lancée en mode freemium en fin d'année. Des fonctionnalités payantes seront proposées ensuite.
Ce produit a mis du temps à se concrétiser et Facebook l'a testé en interne pendant des années. L'enjeu est de taille car les clients devront être convaincus d'abandonner leur produit actuel, dans lequel il y a par exemple des années de messages archivés et de documents.
Aujourd'hui, plus de 100 entreprises essaient la version bêta de Facebook at Work. Heineken par exemple l'a testé avec le top 40 de ses cadres et prévoie de déployer le réseau à ses 550 salariés d'ici la fin septembre.
Comme toujours, Facebook espère tirer un peu de profit du produit, mais sans que le modèle dominant soit celui de la publicité, comme c'est le cas sur le produit grand-public. A la place, Facebook fera payer des fonctionnalités complémentaires comme l'archivage des messages ou les analytics associés aux comptes. En fait, Facebook indique que ce qui sera payant ou gratuit n'est pas encore bien défini, comme par exemple le seuil d'utilisateurs à partir duquel le réseau deviendra payant pour la société.
Facebook annonce d'ores et déjà que le produit une fois lancé, il fera l'objet d'une campagne de promotion sur toutes ses plateformes partenaires, ce qui signifie qu'il sera en concurrence directe avec Slack et Microsoft. Des premiers sondages menés auprès de bêta-testeurs montrent que la familiarité du réseau social (la plupart des utilisateurs savent se servir de Facebook) est un atout clé pour le vendre. « Si quelqu’un arrive dans l’entreprise, il sait utiliser cet outil dès le premier jour », a expliqué Ryan Holmes, PDG de HootSuite, entreprise qui faisait partie du groupe bêta test. « Donc, le coût de la formation est de zéro. C’est important. »
A noter qu'à tout moment, un utilisateur en entreprise pourra passer de son Facebook professionnel à son Facebook personnel. D'après Facebook, il faudra donc convaincre les entreprises que de telles pratiques ne baissent pas pour autant la productivité de leurs employés. Ce frein parait peu réaliste à l'heure où de nombreuses entreprises captent leurs clients précisément sur Facebook. Pour les plus jeunes employés, ce serait équivalent à leur couper leur ligne téléphonique.
Aujourd'hui, plus de 100 entreprises essaient la version bêta de Facebook at Work. Heineken par exemple l'a testé avec le top 40 de ses cadres et prévoie de déployer le réseau à ses 550 salariés d'ici la fin septembre.
Comme toujours, Facebook espère tirer un peu de profit du produit, mais sans que le modèle dominant soit celui de la publicité, comme c'est le cas sur le produit grand-public. A la place, Facebook fera payer des fonctionnalités complémentaires comme l'archivage des messages ou les analytics associés aux comptes. En fait, Facebook indique que ce qui sera payant ou gratuit n'est pas encore bien défini, comme par exemple le seuil d'utilisateurs à partir duquel le réseau deviendra payant pour la société.
Facebook annonce d'ores et déjà que le produit une fois lancé, il fera l'objet d'une campagne de promotion sur toutes ses plateformes partenaires, ce qui signifie qu'il sera en concurrence directe avec Slack et Microsoft. Des premiers sondages menés auprès de bêta-testeurs montrent que la familiarité du réseau social (la plupart des utilisateurs savent se servir de Facebook) est un atout clé pour le vendre. « Si quelqu’un arrive dans l’entreprise, il sait utiliser cet outil dès le premier jour », a expliqué Ryan Holmes, PDG de HootSuite, entreprise qui faisait partie du groupe bêta test. « Donc, le coût de la formation est de zéro. C’est important. »
A noter qu'à tout moment, un utilisateur en entreprise pourra passer de son Facebook professionnel à son Facebook personnel. D'après Facebook, il faudra donc convaincre les entreprises que de telles pratiques ne baissent pas pour autant la productivité de leurs employés. Ce frein parait peu réaliste à l'heure où de nombreuses entreprises captent leurs clients précisément sur Facebook. Pour les plus jeunes employés, ce serait équivalent à leur couper leur ligne téléphonique.
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