Citant une étude du cabinet Strategy Analytics, le site L'Atelier explique que la fièvre qui sévit aujourd'hui sur le marché de l'Internet des Objets (IoT, Internet of Things) est loin de s'arrêter.
Selon l'étude réalisée par Strategy Analytics et commentée par le site L'Atelier, près d’une société interrogée sur trois s’est d’ores et déjà engagée dans l’IoT et seules 26 % des 450 entreprises sondées à travers le monde n’expriment aucun intérêt pour le domaine. L'auteur de l'article poursuit sur le terrain de la sécurité sous-jacent dès que l'on parle des objets connectés : "Le sondage met en lumière une sorte de ruée vers l’IoT qui n’est pas sans soulever des questions. Les professionnels sondés ont ainsi tous en tête l’enjeu de la sécurité. C’est d’ailleurs le premier obstacle cité à un développement plus large de l’Internet des objets. Mais s’ils en ont conscience, les professionnels font encore face à un long chemin avant de réelles avancées dans le domaine. Un rapport récent du constructeur HP pointait à quel point les objets connectés pèchent du point de vue de la sécurité. Une grande partie des objets testés ne sont pas dotés de systèmes de mots de passe, tout en collectant par ailleurs des données très personnelles."
Pourtant, loT suscite bien un engouement vertigineux : "Assisterions-nous donc à une précipitation vers l’IoT au point que les entreprises négligeraient la sécurité ? C’est un peu ce que décrit le CEO de la start-up Feabhas, fournisseur de logiciels pour traiter les données du fitness. « Nous sommes toujours dans un Wild West lorsqu’il s’agit de définir une architecture IoT. Une sélection naturelle va – je l’espère – nous conduire vers des solutions acceptables », écrit Niall Cooling. Une vision que partage un récent rapport du spécialiste de la cybersécurité Sogeti. Selon les auteurs, l’Internet des objets nécessite d’être repensé pour établir de véritables connexions entre les objets. En attendant, trop de standards et de concurrences empêchent les interconnexions."
Selon une étude d'avril de l'institut Machina Research, le potentiel du marché mondial de l'internet des objets pourrait atteindre 4.300 milliards de dollars en 2024. Par ailleurs, la France se placerait juste derrière les Etats-Unis sur ce marché, selon le Financial Times, dans un article paru mercredi 15 juillet 2015. Une des explications avancées pour cette bonne performance est le soutien de l’Etat, avec des aides apportées en matière de création d’entreprises et le Crédit Impôt Recherche qui favorisent l’investissement en recherche et développement.
Pourtant, loT suscite bien un engouement vertigineux : "Assisterions-nous donc à une précipitation vers l’IoT au point que les entreprises négligeraient la sécurité ? C’est un peu ce que décrit le CEO de la start-up Feabhas, fournisseur de logiciels pour traiter les données du fitness. « Nous sommes toujours dans un Wild West lorsqu’il s’agit de définir une architecture IoT. Une sélection naturelle va – je l’espère – nous conduire vers des solutions acceptables », écrit Niall Cooling. Une vision que partage un récent rapport du spécialiste de la cybersécurité Sogeti. Selon les auteurs, l’Internet des objets nécessite d’être repensé pour établir de véritables connexions entre les objets. En attendant, trop de standards et de concurrences empêchent les interconnexions."
Selon une étude d'avril de l'institut Machina Research, le potentiel du marché mondial de l'internet des objets pourrait atteindre 4.300 milliards de dollars en 2024. Par ailleurs, la France se placerait juste derrière les Etats-Unis sur ce marché, selon le Financial Times, dans un article paru mercredi 15 juillet 2015. Une des explications avancées pour cette bonne performance est le soutien de l’Etat, avec des aides apportées en matière de création d’entreprises et le Crédit Impôt Recherche qui favorisent l’investissement en recherche et développement.
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