Opel fait un grand pas vers un avenir serein en proposant sa stratégie pour se sortir de la période difficile qu’il vit depuis près d’une décennie. En effet le constructeur automobile allemand doit présenter, ce jeudi, son plan de redressement après l’arrivée de son nouveau patron Michael Lohscheller en juin dernier. Ce dernier avait 100 jours pour poser sur la table un plan stratégique pour rehausser l’entreprise. La présentation de ce plan de redressement va rassurer les salariés du groupe automobile qui étaient inquiets quant à leur avenir. Un plan qui sans doute ne manquera pas de leur apporter des garanties.
PSA pour relancer Opel
Le constructeur allemand avait vraiment besoin d’être sorti du gouffre. C’est en effet dans cette lignée que le groupe a été racheté de General Motors, cet été, par l’entreprise française PSA. En plus PSA avait aussi acquis le constructeur anglais Vauxhall, en tout, 1,3 milliards d’euros pour se booster dans le marché des constructeurs européens. Le groupe français s’est donné une place importante en occupant 17% de part de marché, soit la deuxième place derrière Volkswagen.
Mais en portant son choix sur un groupe qui est dans le rouge depuis plusieurs décennies avec des pertes de près de 15 milliards de dollars, PSA faisait un aventure risqué dans le vide. Pire encore Opel a eu un déficit de 450 millions de dollars rien que lors du premier semestre 2017. La situation désastreuse du constructeur allemand a été constatée de visu par le patron de PSA, Carlos Tavares, lors d’une visite en septembre dernier dans les unités de montage et de production d’Opel.
Le constructeur allemand avait vraiment besoin d’être sorti du gouffre. C’est en effet dans cette lignée que le groupe a été racheté de General Motors, cet été, par l’entreprise française PSA. En plus PSA avait aussi acquis le constructeur anglais Vauxhall, en tout, 1,3 milliards d’euros pour se booster dans le marché des constructeurs européens. Le groupe français s’est donné une place importante en occupant 17% de part de marché, soit la deuxième place derrière Volkswagen.
Mais en portant son choix sur un groupe qui est dans le rouge depuis plusieurs décennies avec des pertes de près de 15 milliards de dollars, PSA faisait un aventure risqué dans le vide. Pire encore Opel a eu un déficit de 450 millions de dollars rien que lors du premier semestre 2017. La situation désastreuse du constructeur allemand a été constatée de visu par le patron de PSA, Carlos Tavares, lors d’une visite en septembre dernier dans les unités de montage et de production d’Opel.
Des inquiétudes planent
Les déficits de compétitivité que connait le constructeur allemand Opel passé désormais sous pavillon français, inquiètent considérablement les salariés. Il faut dire qu’il y’a quand même de la matière à s’inquiéter après les constats catastrophiques décelés dans la situation du groupe. Désormais près de 38.000 employés sont tourmentés par leur avenir surtout après le rachat effectué par PSA. L’urgence pour ce dernier est de redresser le constructeur allemand afin qu’il retrouve rapidement une place de compétitivité avec des profits réguliers d’ici 2020.
Malgré les inquiétudes des employés, PSA rassure en promettant de respecter scrupuleusement les décisions paraphées dans les accords qui les lient à Opel. Des décisions qui ne prévoient aucun licenciement d’ici 2018 et qui privilégient le maximum d’investissements dans les unités d’Opel d’ici 2020. Cependant des efforts considérables doivent être effectués pour que les nouvelles acquisitions de PSA se mettent à son niveau de productivité. Une restructuration qui risque de couter près de 6000 postes les experts.
Les déficits de compétitivité que connait le constructeur allemand Opel passé désormais sous pavillon français, inquiètent considérablement les salariés. Il faut dire qu’il y’a quand même de la matière à s’inquiéter après les constats catastrophiques décelés dans la situation du groupe. Désormais près de 38.000 employés sont tourmentés par leur avenir surtout après le rachat effectué par PSA. L’urgence pour ce dernier est de redresser le constructeur allemand afin qu’il retrouve rapidement une place de compétitivité avec des profits réguliers d’ici 2020.
Malgré les inquiétudes des employés, PSA rassure en promettant de respecter scrupuleusement les décisions paraphées dans les accords qui les lient à Opel. Des décisions qui ne prévoient aucun licenciement d’ici 2018 et qui privilégient le maximum d’investissements dans les unités d’Opel d’ici 2020. Cependant des efforts considérables doivent être effectués pour que les nouvelles acquisitions de PSA se mettent à son niveau de productivité. Une restructuration qui risque de couter près de 6000 postes les experts.
Le plan de redressement
L’urgence pour le patron d’Opel Michael Lohscheller est de remettre son groupe sur les rails en s’inspirant de son homologue de PSA Carlos Tavares qui lors de la période trouble qu’a connu PSA a réussi à le tirer au premier semestre 2017 vers une rentabilité de 7,3% sur ses ventes.
Dans son plan de redressement qui est attendu jeudi, Michael Lohscheller devrait pousser son groupe a être présent sur les marchés les plus en vus dans le monde tels que la Chine, le Brésil pour n’en citer que ceux-là. Le plan prévoit également une baisse des modèles proposés avec cependant une main mise sur les prix pour mieux les valoriser. La mesure phare du plan devrait être la ruée vers les voitures électriques d’ici 2023.
L’urgence pour le patron d’Opel Michael Lohscheller est de remettre son groupe sur les rails en s’inspirant de son homologue de PSA Carlos Tavares qui lors de la période trouble qu’a connu PSA a réussi à le tirer au premier semestre 2017 vers une rentabilité de 7,3% sur ses ventes.
Dans son plan de redressement qui est attendu jeudi, Michael Lohscheller devrait pousser son groupe a être présent sur les marchés les plus en vus dans le monde tels que la Chine, le Brésil pour n’en citer que ceux-là. Le plan prévoit également une baisse des modèles proposés avec cependant une main mise sur les prix pour mieux les valoriser. La mesure phare du plan devrait être la ruée vers les voitures électriques d’ici 2023.
Dernières notes