Organisation et ressources humaines
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Agé de 60 ans, Nobuaki Kurumatani a été nommé PDG de Toshiba. Il occupera ses nouvelles fonctions le 1er avril 2018. Dans la foulée, Toshiba se projette déjà sur l’avenir en annonçant ses prévisions.
Portrait du nouveau PDG de Toshiba
Nobuaki Kurumatani a occupé le poste de la vice-présidence de Sumitomo Mitsui Financial Group. Il est actuellement président de la filiale japonaise du fonds d'investissement CVC Capital Partners. En fait, il aura la tâche de prendre toutes ces décisions stratégiques sur le long terme et sera encore le responsable des relations avec le monde extérieur. En fin, il sera chargé de garantir avec modération la vente de Toshiba Memory. Sa nomination a été facilitée par des actionnaires très activistes car ils voyaient en lui l'expérience nécessaire dont ils avaient besoin pour les négociations.
Devancé par Samsung Electronics, le deuxième fournisseur mondial de mémoires Nand avait déclaré la signature d’un accord de 2.000 milliards de yens (15,6 milliards d'euros) pour céder sa division à un consortium. En effet, cette cession mal perçue certains actionnaires, lui facilitera la couverture de ses dettes estimées à plusieurs milliards de dollars de la filiale nucléaire américaine Westinghouse. Cette dernière a noué un accord avec ses créanciers. Ce partenariat lui donnera les moyens de sortir de cette douloureuse situation. Toutefois, le Groupe Toshiba ambitionne de relever sa prévision.
Nobuaki Kurumatani a occupé le poste de la vice-présidence de Sumitomo Mitsui Financial Group. Il est actuellement président de la filiale japonaise du fonds d'investissement CVC Capital Partners. En fait, il aura la tâche de prendre toutes ces décisions stratégiques sur le long terme et sera encore le responsable des relations avec le monde extérieur. En fin, il sera chargé de garantir avec modération la vente de Toshiba Memory. Sa nomination a été facilitée par des actionnaires très activistes car ils voyaient en lui l'expérience nécessaire dont ils avaient besoin pour les négociations.
Devancé par Samsung Electronics, le deuxième fournisseur mondial de mémoires Nand avait déclaré la signature d’un accord de 2.000 milliards de yens (15,6 milliards d'euros) pour céder sa division à un consortium. En effet, cette cession mal perçue certains actionnaires, lui facilitera la couverture de ses dettes estimées à plusieurs milliards de dollars de la filiale nucléaire américaine Westinghouse. Cette dernière a noué un accord avec ses créanciers. Ce partenariat lui donnera les moyens de sortir de cette douloureuse situation. Toutefois, le Groupe Toshiba ambitionne de relever sa prévision.
Les prévisions en hausse de Toshiba
Toshiba a prévu des bénéfices qui s’élèveront à hauteur de 520 milliards de yens (3,9 milliards d'euros. Satoshi Tsunakawa, directeur général actuel sera le directeur général délégué et il assumera la responsabilité de la gestion quotidienne. Il a confirmé que le rachat du pôle mémoires restait d'actualité. Cette nouvelle estimation de bénéfice est largement supérieure aux188 milliards de yens prévus. Elle est soutenue par le pôle mémoires et par l'évolution du dossier Westinghouse. Les mémoires, eux seuls, tacheraient de produire 450 milliards de yens de bénéfice d'exploitation annuel. Sinon, Toshiba serait amené à faire un contrecoup opérationnel nul.
Toshiba est condamné au retour au bénéfice. Sans cela, le groupe sera radié de la cote. De ce fait, la cession du pôle mémoires avant fin mars ne demeure plus comme une exigence totale. De toutes les façons, ce sera une échéance délicate à observer car les autorités chinoises examinent toujours l’opération. Si cette opération n’aboutit d’ici là, Toshiba dispose des moyens d’y renoncer. Un groupe chinois du nom d’Argyle Street Management avait déclaré en décembre son opposition contre cette vente. C’est un fonds spéculatif avec 1,2 milliard de dollars (979 millions d'euros) d’actifs. En fin, il avait proposé qu’il soit introduit en bourse.
Toshiba a prévu des bénéfices qui s’élèveront à hauteur de 520 milliards de yens (3,9 milliards d'euros. Satoshi Tsunakawa, directeur général actuel sera le directeur général délégué et il assumera la responsabilité de la gestion quotidienne. Il a confirmé que le rachat du pôle mémoires restait d'actualité. Cette nouvelle estimation de bénéfice est largement supérieure aux188 milliards de yens prévus. Elle est soutenue par le pôle mémoires et par l'évolution du dossier Westinghouse. Les mémoires, eux seuls, tacheraient de produire 450 milliards de yens de bénéfice d'exploitation annuel. Sinon, Toshiba serait amené à faire un contrecoup opérationnel nul.
Toshiba est condamné au retour au bénéfice. Sans cela, le groupe sera radié de la cote. De ce fait, la cession du pôle mémoires avant fin mars ne demeure plus comme une exigence totale. De toutes les façons, ce sera une échéance délicate à observer car les autorités chinoises examinent toujours l’opération. Si cette opération n’aboutit d’ici là, Toshiba dispose des moyens d’y renoncer. Un groupe chinois du nom d’Argyle Street Management avait déclaré en décembre son opposition contre cette vente. C’est un fonds spéculatif avec 1,2 milliard de dollars (979 millions d'euros) d’actifs. En fin, il avait proposé qu’il soit introduit en bourse.
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