Une prospérité croissante

La banque a considérablement prospéré et progressé en termes de revenus concernant les différentes activités. Celles-ci sont entre autres les services qui sont rendus aux investisseurs qui permettent à la banque de gagner énormément en termes de revenus, les métiers concernant les taux comme les crédits change ainsi que l’activité sur les matières premières. On constate ainsi un accroissement des revenus avec un taux de change constant d’un trimestre à l’autre de 7%. L’une des plus puissantes franchises de la Société Générale a généré durant le trimestre, mai-juin un montant de 696 millions en une considérable hausse de 4%.

Une année de transition

Au milieu de l’année 2018, on assiste à un exercice de transition de la Société Générale poussant ainsi les investisseurs à patienter. Le résultat du coût de risques des activités commerciales a été jugé largement positif avec une remarquable baisse sur l’année de la facture qui est passée de 0,2 à 0,25%.  Le produit net bancaire quant à lui s’élève à 12, 8 milliards d’euros sur le trimestre. Cependant, la banque est toujours en train de revoir ses coûts, car ils augmentent de plus en plus.

Négociations en cours

On remarque que la Société Générale est toujours en train de trainer avec le poids du passé. La Société Générale va vendre sa banque de détail qui se trouve en Bulgarie et en Albanie après avoir vendu sa banque privée se trouvant en Belgique. La banque veut ainsi réduire les coûts de ses risques de 5% d’ici la fin de l’année 2020. Elle a déjà réussi à en diminuer près de 2,5%. Une certaine marge est prévue pour être réinvestie dans des domaines plus stratégiques. La somme des coûts d’intégration sera égale ou supérieure à 150.000 millions d’euros avant l’année 2020. Une nouvelle provision pour litige de 200 millions a été constituée par la Société Générale et lui permettra de faire face au règlement judiciaire avec l’OFAC.