La nouvelle Halle Freyssinet qui sera construite dans un ancien hangar de la SNCF à Paris devrait être à horizon 2016, de par sa taille, la plus grosse structure mondiale dédiée à l'incubation des jeunes pousses.
Cet espace de 30 000 m2 situé dans le 13ème arrondissement parisien est en friche depuis 2006 devrait être entièrement dédié à l'innovation. Il sera possible d'y incuber 1 000 start-up en même temps grâce aux nombreux bureaux qui vont y être aménagés, à son futur auditorium d'une capacité de 500 places, à ses salles de réunion ainsi qu'à son laboratoire de fabrication de maquettes et de prototypes. On y trouvera même une Poste et un bar-restaurant. Cet entrepôt abritait auparavant les messageries des trains de la gare d'Austerliz. Il devait être démoli en 2012 et a été sauvé grâce à son classement aux Monuments historiques. L'architecte du projet sera Jean-Michel Wilmotte et il est prévu que le site abrite des wagons de trains réaménagés.
Parmi les investisseurs, on trouve Xavier Niel, qui devrait participer à hauteur de 200 millions d'euros et la Caisse des dépôts qui prendra 5 à 10% du montant total. Selon Xavier Niel qui prenait la parole aux côtés de François Hollande lors de l'inauguration du chantier, cette structure viendra compléter celles déjà existantes à Paris mais de taille plus modeste. «Ici on ne cherche pas à gagner de l'argent mais à faire naître l'envie à des jeunes de créer leur boîte, et j'espère qu'un jour ils me remplaceront» a-t-il déclaré. Le modèle économique sera basé sur des loyers très modérés permettant à de jeunes entreprises de se loger à Paris, ville réputée très chère pour l'immobilier de bureaux. De plus, la promiscuité de toutes ces start-up favorisera l'émulation, les contacts et les échanges professionnels. Xavier Niel, avec son fonds d'amorçage Kima Ventures a déjà aidé des centaines d'entreprise avec en moyenne de 125 à 250 000 euros par projet.
La Halle Freyssinet n'est pas financée majoritairement par Xavier Niel. Ce projet doit beaucoup à la mairie de Paris et à son adjoint chargé du développement économique et de l'attractivité de la capitale, Jean-Louis Missika, par ailleurs ancien vice-président d'Illiad. A noter que de son côté, Xavier Niel a acheté des terrains à proximité de la Halle, à Ivry-sur-Seine, en vue de l'extension de la structure.
Parmi les investisseurs, on trouve Xavier Niel, qui devrait participer à hauteur de 200 millions d'euros et la Caisse des dépôts qui prendra 5 à 10% du montant total. Selon Xavier Niel qui prenait la parole aux côtés de François Hollande lors de l'inauguration du chantier, cette structure viendra compléter celles déjà existantes à Paris mais de taille plus modeste. «Ici on ne cherche pas à gagner de l'argent mais à faire naître l'envie à des jeunes de créer leur boîte, et j'espère qu'un jour ils me remplaceront» a-t-il déclaré. Le modèle économique sera basé sur des loyers très modérés permettant à de jeunes entreprises de se loger à Paris, ville réputée très chère pour l'immobilier de bureaux. De plus, la promiscuité de toutes ces start-up favorisera l'émulation, les contacts et les échanges professionnels. Xavier Niel, avec son fonds d'amorçage Kima Ventures a déjà aidé des centaines d'entreprise avec en moyenne de 125 à 250 000 euros par projet.
La Halle Freyssinet n'est pas financée majoritairement par Xavier Niel. Ce projet doit beaucoup à la mairie de Paris et à son adjoint chargé du développement économique et de l'attractivité de la capitale, Jean-Louis Missika, par ailleurs ancien vice-président d'Illiad. A noter que de son côté, Xavier Niel a acheté des terrains à proximité de la Halle, à Ivry-sur-Seine, en vue de l'extension de la structure.
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