Organisation et ressources humaines
Booster son chiffre d’affaires tout en garantissant l’amélioration de sa rentabilité voilà ce qu’ambitionne la marque Saint-Laurent qui en moins de six ans aura fait exploser ses compteurs. Avec un taux de croissance qui caresse les 27 %, la marque dérange les codes du luxe et se signale avec un chiffre d’affaires frôlant le milliard de d’euros, 1,2 milliard pour être aussi affirmatif que sa directrice Francesca Bellettini. Une facture qui ne semble pas pour autant rassasier cette dernière qui souhaite multiplier par deux le chiffre d’affaires de la marque dans les 5 ans à venir. Un projet colossal que la marque semble bien déterminée à atteindre par le biais de mécanismes efficaces.
Aller à la conquête du terrain.
Jusque-là, la marque s’est appuyée sur un nombre assez restreint de boutiques, 159 au total, une présence assez timide comparée à la concurrence dont la présence reste assez significative. Pour pallier à cela, la directrice Francesca Bellettini annonce l’ouverture prochaine d’une double dizaine de boutique, et ce, annuellement. Accroître la présence du groupe là où elle existe déjà, et l’implanter dans des zones encore inexplorées telles que la Suisse par exemple où la marque ne dispose point de boutique, mais aussi réactualiser, à la limite rajeunir ses anciens magasins pour les conformer à la norme standard, telle est la volonté de l’équipe dirigeante.
Et puisqu’il s’agit d’innovation et de créativité la marque ne semble point manquer d’ingéniosité et projette à l’instar de la concurrence, diversifier ses services par la mise en vente de produits accessibles tels que les lunettes ou encore des foulards qui pourront aiguiser davantage l’appétit, mais aussi la curiosité des clients à venir s’imprégner des produits de la marque. Enfin l’une des étapes qui intéresse le plus la marque semble être son implantation en Chine où elle trouve sa première clientèle avec un pourcentage estimé à 27 % et qui est aussi un terrain excessivement prisé par les marques de luxe
Jusque-là, la marque s’est appuyée sur un nombre assez restreint de boutiques, 159 au total, une présence assez timide comparée à la concurrence dont la présence reste assez significative. Pour pallier à cela, la directrice Francesca Bellettini annonce l’ouverture prochaine d’une double dizaine de boutique, et ce, annuellement. Accroître la présence du groupe là où elle existe déjà, et l’implanter dans des zones encore inexplorées telles que la Suisse par exemple où la marque ne dispose point de boutique, mais aussi réactualiser, à la limite rajeunir ses anciens magasins pour les conformer à la norme standard, telle est la volonté de l’équipe dirigeante.
Et puisqu’il s’agit d’innovation et de créativité la marque ne semble point manquer d’ingéniosité et projette à l’instar de la concurrence, diversifier ses services par la mise en vente de produits accessibles tels que les lunettes ou encore des foulards qui pourront aiguiser davantage l’appétit, mais aussi la curiosité des clients à venir s’imprégner des produits de la marque. Enfin l’une des étapes qui intéresse le plus la marque semble être son implantation en Chine où elle trouve sa première clientèle avec un pourcentage estimé à 27 % et qui est aussi un terrain excessivement prisé par les marques de luxe
Booster le portail web de la marque.
Parmi les stratégies imaginées par la Francesca Bellottini pour atteindre ses objectifs, il y a une qui attire l’attention, ce sont les ventes en lignes. Gravitant entre 3 et 5 % des ventes de la marque, le département e-commerce de la boîte se verra bientôt reconfigurer pour mieux prendre en charge les besoins des clients, d’autant plus qu’ils seraient près de 70% des « millenials » ce qui signifie donc que la bataille du web doit forcément être prise aux sérieux pour s’imposer, attirer mais aussi fidéliser une clientèle déjà acquise.
Parmi les stratégies imaginées par la Francesca Bellottini pour atteindre ses objectifs, il y a une qui attire l’attention, ce sont les ventes en lignes. Gravitant entre 3 et 5 % des ventes de la marque, le département e-commerce de la boîte se verra bientôt reconfigurer pour mieux prendre en charge les besoins des clients, d’autant plus qu’ils seraient près de 70% des « millenials » ce qui signifie donc que la bataille du web doit forcément être prise aux sérieux pour s’imposer, attirer mais aussi fidéliser une clientèle déjà acquise.
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