L'apparition récente de nouvelles plateformes de financement participatif dans le secteur immobilier témoigne d'un dynamisme pour cette forme de crowdfunding.
Les rendements annoncés, entre 4 et 12%, sont souvent très attractifs pour les particuliers qui peuvent financer des projets immobiliers grâce à ces plateformes. Les opérations concernent principalement l'Ile de France et les grandes villes françaises et portent sur toutes sortes de projets, neufs ou anciens, résidentiel ou tertiaire, avec des tickets d'entrée s'échelonnant entre 500 et 3 000 euros.
Un article paru dans Les Echos prend l'exemple de la plateforme Hexagone pour expliquer le mécanisme associé à ce type d'opérations : "L’épargnant consent un prêt à un promoteur immobilier. Il reçoit en échange une obligation à taux fixe qui lui donne droit à une rémunération annuelle, comprise entre 5 % et 10 %, selon les montants alloués à l’investissement obligataire, et au remboursement de la somme prêtée au terme de l’opération. Le paiement de la rémunération et du capital se font en une seule fois à l’échéance. Attention, le placement n’est pas garanti et l’investisseur peut perdre tout ou partie de sa mise. La durée d’investissement varie d’ailleurs fortement, de 9 mois à 60 mois, selon les projets. La moyenne se situe à 14 mois. Là non plus, la durée de placement n’est pas garantie. (...) Celle-ci peut être rallongée d’au maximum six mois (mais en contrepartie d’une rémunération supérieure), si le promoteur prend du retard."
La plateforme Buildeeg a publié début 2015 un baromètre du crowdfunding immobilier pour communiquer sur les signes positifs d'une activité en train de décoller en France : "Un encadrement juridique auprès de l'AMF ; Une levée record de 1,8 M€ pour le projet Kalelithos sur Anaxago ; 100 % de réussite pour les 9 projets lancés en 2014 ; Une sortie positive pour le promoteur Lymo en remboursant 53 investisseurs." En 2014, le montant total levé par des plateformes de financement participatif immobilier s'élève à 5,2 millions d'euros et la rentabilité moyenne des projets est estimée à 8,3 %. Toutefois, ce taux de rentabilité ne concerne que le mode de financement par emprunt car, pour le moment, une seule sortie a été réalisée concernant l’investissement en capital. Des perspectives positives donc mais les premiers succès restent à confirmer dans un environnement sur lequel il convient de rester prudent.
Un article paru dans Les Echos prend l'exemple de la plateforme Hexagone pour expliquer le mécanisme associé à ce type d'opérations : "L’épargnant consent un prêt à un promoteur immobilier. Il reçoit en échange une obligation à taux fixe qui lui donne droit à une rémunération annuelle, comprise entre 5 % et 10 %, selon les montants alloués à l’investissement obligataire, et au remboursement de la somme prêtée au terme de l’opération. Le paiement de la rémunération et du capital se font en une seule fois à l’échéance. Attention, le placement n’est pas garanti et l’investisseur peut perdre tout ou partie de sa mise. La durée d’investissement varie d’ailleurs fortement, de 9 mois à 60 mois, selon les projets. La moyenne se situe à 14 mois. Là non plus, la durée de placement n’est pas garantie. (...) Celle-ci peut être rallongée d’au maximum six mois (mais en contrepartie d’une rémunération supérieure), si le promoteur prend du retard."
La plateforme Buildeeg a publié début 2015 un baromètre du crowdfunding immobilier pour communiquer sur les signes positifs d'une activité en train de décoller en France : "Un encadrement juridique auprès de l'AMF ; Une levée record de 1,8 M€ pour le projet Kalelithos sur Anaxago ; 100 % de réussite pour les 9 projets lancés en 2014 ; Une sortie positive pour le promoteur Lymo en remboursant 53 investisseurs." En 2014, le montant total levé par des plateformes de financement participatif immobilier s'élève à 5,2 millions d'euros et la rentabilité moyenne des projets est estimée à 8,3 %. Toutefois, ce taux de rentabilité ne concerne que le mode de financement par emprunt car, pour le moment, une seule sortie a été réalisée concernant l’investissement en capital. Des perspectives positives donc mais les premiers succès restent à confirmer dans un environnement sur lequel il convient de rester prudent.
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