Depuis quelques années, Safran vit une période propice aux bons résultats. Aux commandes de ce groupe aux multiples activités, Jean-Paul Herteman reste confiant quant aux perspectives attendues pour les années à venir. Afin de confirmer la progression des activités de Safran et de ses filiales, de vastes changements ont été constatés dans ses équipes dirigeantes au cours des derniers mois. Aux yeux du PDG, ce choix des décideurs est opportun pour permettre au groupe d'exceller encore plus dans ses activités.
Jean-Paul Herteman - Photo : Safran
Safran, un groupe industriel et technologique impressionnant
En évoquant les récentes activités du groupe, les chiffres annoncés par Jean-Paul Herteman reflètent des résultats flamboyants. Safran, groupe industriel et technologique, a clôturé son précédent exercice sur une note positive. Dans l'escarcelle de ce géant mondial, une dizaine de filiales exercent dans les métiers de la conception, du développement et de la production de moteurs d'avions, de fusées et d'hélicoptères ainsi que dans le secteur de l'équipement aéronautique, de défense et de sécurité.
Depuis son lancement, en 2005, Safran a acquis davantage de cohésion affirme Jean-Paul Herteman. De profondes mutations ont été constatées, comme l'illustre par exemple le centre R&T Safran Composites dont la construction a été entreprise cette année. Avec cette nouvelle structure, le groupe est désormais capable de répartir efficacement les expertises de chacun au service des sociétés et filiales, un gage de cohérence à part entière, exprime le PDG.
Par ailleurs, les satisfactions du premier responsable de Safran portent également sur le niveau de compétitivité affiché par son enseigne. En matière de coûts de structure comme au niveau industriel, les filiales du groupe proposent aujourd'hui le meilleur en termes de compétitivité, notamment en raison de la mise en commun des fonctions supports. Chez Safran, l’année 2012 a également été marquée par la mise en place de joint-ventures importantes ainsi que par la prise de contrôle de nombreuses start-up technologiques, dans le secteur des équipements électroniques critiques embarqués, des logiciels et de l'optronique. Le groupe dirigé par Jean-Paul Herteman affiche dès lors une solidité impressionnante dans la maîtrise de ses métiers et activités.
Une croissance soutenue pour Safran
Le PDG se félicite des chiffres concluants réalisés par Safran. Ainsi, les recettes annuelles sont montées en flèche en 2012, avec une évolution positive de 15,5 %, portant le chiffre d'affaires du groupe à 13,6 milliards d'euros. De fait, le résultat a connu un bond favorable avec 999 millions d'euros. Le succès du moteur CFM56, produit et livré selon des quantités jamais atteintes auparavant, est un exemple cité par Jean-Paul Herteman pour étayer cette réussite commerciale. Les autres produits ne sont pas en reste, tel que le moteur LEAP, qui a enregistré l'année passée plus de 4 300 commandes fermes et intentions d'achat. Pour le PDG, la pérennité des activités de Safran est indiscutable pour de nombreuses décennies à venir.
Le choix des décideurs pour le Jean-Paul Herteman
Malgré ce succès de Safran, le PDG et son équipe sont loin de se reposer sur leurs acquits. La gouvernance et le management du groupe ont ainsi fait état de transformations importantes au cours des dernières années. Une partie des instances dirigeantes des principales filiales de l'établissement a été renouvelée, avec ce qui apparaît tout simplement comme un jeu de chaises musicales.
Dans le secteur des équipements aéronautiques, Alain Sauret laisse la présidence de la filiale Messier-Bugatti-Dowty à Vincent Mascré, jusqu'alors premier responsable chez Aircelle, où il est remplacé par Martin Sion.
L'ancien directeur général de la défense et sécurité chez Safran et non moins président exécutif de Sagem, Philippe Petitcolin, siège désormais aux commandes de Morpho, la branche sécurité du groupe. Les opérations de cette filiale aux États-Unis sont sous la tutelle de Karen Bomba, tandis que la présidence de Sagem est quant à elle confiée à Bruno Evens.
Tirer profit de la diversité et de la mixité
Alain Sauret occupe la place libérée par Karen Bomba à la tête de Labinal. Outre les importantes responsabilités déléguées à cette dernière, la nomination d'Hélène Moreau-Leroy à la présidence d'Hispano-Suiza marque la volonté du groupe à la promotion de la gent féminine, une notion essentielle inscrite au sein de la politique managériale menée par Jean-Paul Herteman. Globalement, il a été recensé par le passé un peu moins de 20 % d'effectifs féminins au sein du personnel exerçant dans l'encadrement, une situation presque récurrente à toutes les filiales du groupe. Aussi, afin de consacrer une place plus importante aux femmes au sein de l'effectif d'encadrement de Safran, son PDG affirme que le groupe tient à recruter 25 % d'ingénieures.
En évoquant les récentes activités du groupe, les chiffres annoncés par Jean-Paul Herteman reflètent des résultats flamboyants. Safran, groupe industriel et technologique, a clôturé son précédent exercice sur une note positive. Dans l'escarcelle de ce géant mondial, une dizaine de filiales exercent dans les métiers de la conception, du développement et de la production de moteurs d'avions, de fusées et d'hélicoptères ainsi que dans le secteur de l'équipement aéronautique, de défense et de sécurité.
Depuis son lancement, en 2005, Safran a acquis davantage de cohésion affirme Jean-Paul Herteman. De profondes mutations ont été constatées, comme l'illustre par exemple le centre R&T Safran Composites dont la construction a été entreprise cette année. Avec cette nouvelle structure, le groupe est désormais capable de répartir efficacement les expertises de chacun au service des sociétés et filiales, un gage de cohérence à part entière, exprime le PDG.
Par ailleurs, les satisfactions du premier responsable de Safran portent également sur le niveau de compétitivité affiché par son enseigne. En matière de coûts de structure comme au niveau industriel, les filiales du groupe proposent aujourd'hui le meilleur en termes de compétitivité, notamment en raison de la mise en commun des fonctions supports. Chez Safran, l’année 2012 a également été marquée par la mise en place de joint-ventures importantes ainsi que par la prise de contrôle de nombreuses start-up technologiques, dans le secteur des équipements électroniques critiques embarqués, des logiciels et de l'optronique. Le groupe dirigé par Jean-Paul Herteman affiche dès lors une solidité impressionnante dans la maîtrise de ses métiers et activités.
Une croissance soutenue pour Safran
Le PDG se félicite des chiffres concluants réalisés par Safran. Ainsi, les recettes annuelles sont montées en flèche en 2012, avec une évolution positive de 15,5 %, portant le chiffre d'affaires du groupe à 13,6 milliards d'euros. De fait, le résultat a connu un bond favorable avec 999 millions d'euros. Le succès du moteur CFM56, produit et livré selon des quantités jamais atteintes auparavant, est un exemple cité par Jean-Paul Herteman pour étayer cette réussite commerciale. Les autres produits ne sont pas en reste, tel que le moteur LEAP, qui a enregistré l'année passée plus de 4 300 commandes fermes et intentions d'achat. Pour le PDG, la pérennité des activités de Safran est indiscutable pour de nombreuses décennies à venir.
Le choix des décideurs pour le Jean-Paul Herteman
Malgré ce succès de Safran, le PDG et son équipe sont loin de se reposer sur leurs acquits. La gouvernance et le management du groupe ont ainsi fait état de transformations importantes au cours des dernières années. Une partie des instances dirigeantes des principales filiales de l'établissement a été renouvelée, avec ce qui apparaît tout simplement comme un jeu de chaises musicales.
Dans le secteur des équipements aéronautiques, Alain Sauret laisse la présidence de la filiale Messier-Bugatti-Dowty à Vincent Mascré, jusqu'alors premier responsable chez Aircelle, où il est remplacé par Martin Sion.
L'ancien directeur général de la défense et sécurité chez Safran et non moins président exécutif de Sagem, Philippe Petitcolin, siège désormais aux commandes de Morpho, la branche sécurité du groupe. Les opérations de cette filiale aux États-Unis sont sous la tutelle de Karen Bomba, tandis que la présidence de Sagem est quant à elle confiée à Bruno Evens.
Tirer profit de la diversité et de la mixité
Alain Sauret occupe la place libérée par Karen Bomba à la tête de Labinal. Outre les importantes responsabilités déléguées à cette dernière, la nomination d'Hélène Moreau-Leroy à la présidence d'Hispano-Suiza marque la volonté du groupe à la promotion de la gent féminine, une notion essentielle inscrite au sein de la politique managériale menée par Jean-Paul Herteman. Globalement, il a été recensé par le passé un peu moins de 20 % d'effectifs féminins au sein du personnel exerçant dans l'encadrement, une situation presque récurrente à toutes les filiales du groupe. Aussi, afin de consacrer une place plus importante aux femmes au sein de l'effectif d'encadrement de Safran, son PDG affirme que le groupe tient à recruter 25 % d'ingénieures.
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