Le Cloud Computing connaît aujourd'hui, un véritable essor, notamment grâce aux récentes solutions gratuites ou peu onéreuses que proposent certaines plateformes. En général, quelques gigas sont proposés gratuitement pour un usage basique, et l'espace peut être augmenté moyennant un supplément modéré.
Tout sur le Cloud Computing
Le Cloud Computing permet aux entreprises de stoker des données en ligne, et de les partager via un serveur distant. Une solution dont l'intérêt est de réduire les coûts de stockage en local et qui admet la possibilité d’un mode de travail collaboratif. Le Cloud Computing est donc une formule de stockage très appréciée par les entreprises et leurs employés. Ces derniers peuvent accéder à leurs données et archives via leur ordinateur de bureau, mais aussi via une tablette, ou un Smartphone, et peuvent interagir simultanément sur un même document. Une accessibilité multisupport qui offre une grande mobilité aux employés et donc une plus grande flexibilité aux entreprises. Et lorsqu’il s’agit de choisir une solution de stockage, flexibilité et mobilité sont des arguments qui pèsent lourd. D’où l’attrait grandissant pour les services de Cloud Computing. De plus, avec les nombreuses plateformes apparues au cours des dernières années, les offres se sont diversifiées, et les prestataires hébergeurs de données arrivent désormais à séduire un grand nombre de professionnels et entreprises. Il faut dire que les prestations sont souvent gratuites pour un usage de base, et que les volumes de stockages nécessaires pour une entreprise ne coûtent pas très cher. Cependant, les entreprises ne doivent pas confier leurs données à un prestataire externe, s'en prendre quelques mesures de précaution, comme la vérification du mode de récupération des données, et l'interopérabilité entre opérateurs de services Cloud. Sur ces points, les trois principaux tiers de confiances du marché offrent une bonne réversibilité et interopérabilité.
La référence du marché
Le plus connu des services de Cloud Computing, et aussi le plus simple à utiliser, n'est autre que Dropbox. Une plateforme créée en 2008, rapidement devenue la référence du marché grâce à son interface bien pensée et la possibilité de personnaliser les répertoires à synchroniser. Pour utiliser Dropbox, il suffit de télécharger un fichier, et de l'installer sur son ordinateur. Ensuite il suffit de placer les fichiers que l'on veut stocker à distance, dans un dossier en local, que l’on synchronise avec la plateforme Dropbox. Comme la plupart de ses concurrents, Dropbox permet de visualiser des documents selon leur version, et admet la récupération de fichiers qui ont été supprimés sur d’autres machines. Cette récupération est possible sur les machines qui ont préalablement été synchronisées avec la plateforme, et ce, grâce à un système de sauvegarde centralisé. Pour améliorer son offre, Dropbox a récemment mis en place un service de téléchargement de fichiers, qui permet à toute personne non inscrite au service Dropbox de télécharger des fichiers qu'un utilisateur souhaiterait lui transmettre. Un service bien accueilli par les usagers, et qui confirme l’avance de Dropbox sur ces concurrents. Son service de Cloud Computing domine le marché, bien qu’il accuse quelques points faibles, comme l’espace accordé gratuitement. Deux gigas seulement par utilisateur, alors que la concurrence en propose plus du double.
Google se lance dans le Cloud Computing
Avec l'application Google Document, on peut dire que Google proposait déjà une forme de Cloud Computing depuis de nombreuses années. Mais l’application n'offre pas autant de fonctionnalités qu'un service authentique de Cloud Computing. Aussi, face à la montée en puissance de Dropbox, Google a décidé de lancer une extension de l'application Google Document. Son nom : Google Drive. Ce service s'apparente en tout point à celui que propose Dropbox. Il ne s'agit en fait que d'une copie, mais avec l'argument d'un volume de stockage gratuit, de 5 gigas, contre deux seulement pour Dropbox. Google Drive possède tout de même d’autres avantages sur son concurrent, car il bénéficie de la force du moteur de recherche Google. Ce qui permet de rechercher des documents ou autres fichiers selon leur nom ou même leur contenu, de manière simple et rapide. Une fonctionnalité très utile lorsqu’il s’agit de retrouver un fichier dont on a oublié le nom, ou de rechercher le contenu d’un fichier PDF, dans une masse importante de données. Google Drive, propose également des tarifs plus attractifs, mais certains observateurs estiment que ce service n’est pas abouti, puisqu’il a été lancé dans l’urgence pour ne pas laisser le champ libre à Dropbox et Microsoft.
Microsoft et son Skydrive
Lancé quasiment en même temps que Dropbox, le service Skydrive de Microsoft, connaît un succès mitigé comparé à ses rivaux, et ce, malgré des offres alléchantes, à savoir que le service Cloud Computing de Microsoft propose sept gigas d'espace gratuit en ligne. Soit cinq gigas de plus que Dropbox, et deux de plus que Google Drive. Cependant, le gros point faible de ce service Cloud, était jusqu'en 2012, l'impossibilité d'installer une interface en locale. Il fallait donc obligatoirement passer par la plateforme web. Mais aujourd'hui, Skydrive peut être installé sur un PC, ou un Smartphone. Ce qui devrait séduire un bon nombre d'utilisateurs, surtout lorsqu'on sait que toute la suite bureautique Microsoft Office peut être synchronisée avec la plateforme. Un argument de poids qui facilitera grandement le travail collaboratif, car les usagers n’auront pas à changer leurs outils de travail habituels. Mais pour ceux qui ne sont pas familiarisés avec la suite bureautique, il leur faudra évoluer vers un univers 100 % Microsoft. Un point faible pour ce service de Cloud Computing. Il reste donc encore au géant américain, à faire évoluer son interface pour la rendre plus attrayante, et pour convaincre les plus réticents, à adopter l’univers Microsoft. Les prix très compétitifs de Skydrive concourront à cet objectif, allant de 8 euros par an pour 20 gigas, jusqu’à 37 euros par an pour 100 gigas. Des formules trois fois moins chères que chez Google, mais qui ne permettent pas de stocker plus de 100 gigas, alors que Google Drive propose jusqu'à 16 000 gigas d’espace en ligne.
Le Cloud Computing permet aux entreprises de stoker des données en ligne, et de les partager via un serveur distant. Une solution dont l'intérêt est de réduire les coûts de stockage en local et qui admet la possibilité d’un mode de travail collaboratif. Le Cloud Computing est donc une formule de stockage très appréciée par les entreprises et leurs employés. Ces derniers peuvent accéder à leurs données et archives via leur ordinateur de bureau, mais aussi via une tablette, ou un Smartphone, et peuvent interagir simultanément sur un même document. Une accessibilité multisupport qui offre une grande mobilité aux employés et donc une plus grande flexibilité aux entreprises. Et lorsqu’il s’agit de choisir une solution de stockage, flexibilité et mobilité sont des arguments qui pèsent lourd. D’où l’attrait grandissant pour les services de Cloud Computing. De plus, avec les nombreuses plateformes apparues au cours des dernières années, les offres se sont diversifiées, et les prestataires hébergeurs de données arrivent désormais à séduire un grand nombre de professionnels et entreprises. Il faut dire que les prestations sont souvent gratuites pour un usage de base, et que les volumes de stockages nécessaires pour une entreprise ne coûtent pas très cher. Cependant, les entreprises ne doivent pas confier leurs données à un prestataire externe, s'en prendre quelques mesures de précaution, comme la vérification du mode de récupération des données, et l'interopérabilité entre opérateurs de services Cloud. Sur ces points, les trois principaux tiers de confiances du marché offrent une bonne réversibilité et interopérabilité.
La référence du marché
Le plus connu des services de Cloud Computing, et aussi le plus simple à utiliser, n'est autre que Dropbox. Une plateforme créée en 2008, rapidement devenue la référence du marché grâce à son interface bien pensée et la possibilité de personnaliser les répertoires à synchroniser. Pour utiliser Dropbox, il suffit de télécharger un fichier, et de l'installer sur son ordinateur. Ensuite il suffit de placer les fichiers que l'on veut stocker à distance, dans un dossier en local, que l’on synchronise avec la plateforme Dropbox. Comme la plupart de ses concurrents, Dropbox permet de visualiser des documents selon leur version, et admet la récupération de fichiers qui ont été supprimés sur d’autres machines. Cette récupération est possible sur les machines qui ont préalablement été synchronisées avec la plateforme, et ce, grâce à un système de sauvegarde centralisé. Pour améliorer son offre, Dropbox a récemment mis en place un service de téléchargement de fichiers, qui permet à toute personne non inscrite au service Dropbox de télécharger des fichiers qu'un utilisateur souhaiterait lui transmettre. Un service bien accueilli par les usagers, et qui confirme l’avance de Dropbox sur ces concurrents. Son service de Cloud Computing domine le marché, bien qu’il accuse quelques points faibles, comme l’espace accordé gratuitement. Deux gigas seulement par utilisateur, alors que la concurrence en propose plus du double.
Google se lance dans le Cloud Computing
Avec l'application Google Document, on peut dire que Google proposait déjà une forme de Cloud Computing depuis de nombreuses années. Mais l’application n'offre pas autant de fonctionnalités qu'un service authentique de Cloud Computing. Aussi, face à la montée en puissance de Dropbox, Google a décidé de lancer une extension de l'application Google Document. Son nom : Google Drive. Ce service s'apparente en tout point à celui que propose Dropbox. Il ne s'agit en fait que d'une copie, mais avec l'argument d'un volume de stockage gratuit, de 5 gigas, contre deux seulement pour Dropbox. Google Drive possède tout de même d’autres avantages sur son concurrent, car il bénéficie de la force du moteur de recherche Google. Ce qui permet de rechercher des documents ou autres fichiers selon leur nom ou même leur contenu, de manière simple et rapide. Une fonctionnalité très utile lorsqu’il s’agit de retrouver un fichier dont on a oublié le nom, ou de rechercher le contenu d’un fichier PDF, dans une masse importante de données. Google Drive, propose également des tarifs plus attractifs, mais certains observateurs estiment que ce service n’est pas abouti, puisqu’il a été lancé dans l’urgence pour ne pas laisser le champ libre à Dropbox et Microsoft.
Microsoft et son Skydrive
Lancé quasiment en même temps que Dropbox, le service Skydrive de Microsoft, connaît un succès mitigé comparé à ses rivaux, et ce, malgré des offres alléchantes, à savoir que le service Cloud Computing de Microsoft propose sept gigas d'espace gratuit en ligne. Soit cinq gigas de plus que Dropbox, et deux de plus que Google Drive. Cependant, le gros point faible de ce service Cloud, était jusqu'en 2012, l'impossibilité d'installer une interface en locale. Il fallait donc obligatoirement passer par la plateforme web. Mais aujourd'hui, Skydrive peut être installé sur un PC, ou un Smartphone. Ce qui devrait séduire un bon nombre d'utilisateurs, surtout lorsqu'on sait que toute la suite bureautique Microsoft Office peut être synchronisée avec la plateforme. Un argument de poids qui facilitera grandement le travail collaboratif, car les usagers n’auront pas à changer leurs outils de travail habituels. Mais pour ceux qui ne sont pas familiarisés avec la suite bureautique, il leur faudra évoluer vers un univers 100 % Microsoft. Un point faible pour ce service de Cloud Computing. Il reste donc encore au géant américain, à faire évoluer son interface pour la rendre plus attrayante, et pour convaincre les plus réticents, à adopter l’univers Microsoft. Les prix très compétitifs de Skydrive concourront à cet objectif, allant de 8 euros par an pour 20 gigas, jusqu’à 37 euros par an pour 100 gigas. Des formules trois fois moins chères que chez Google, mais qui ne permettent pas de stocker plus de 100 gigas, alors que Google Drive propose jusqu'à 16 000 gigas d’espace en ligne.
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