Organisation et ressources humaines
Avec l’acquisition de la fintech Pumpkin, Crédit Mutuel Arkéak se lance à l’assaut de la tranche d’âge comprise entre 18 et 28 ans. La banque mutualiste a toujours soutenu l’épanouissement des jeunes poussées du monde de la finance. Un pari qui s’semble s’avérer gagnant avec l’acquisition de 80 % des parts de Pumpkin, sa toute nouvelle merveille destinée à faciliter les transactions financières entre personnes. Une application sur laquelle compte s’appuyer la banque mutualiste pour mettre en place une néobanque destinée à la catégorie des 18 à 28 ans. Une clientèle qui, selon le directeur général de Crédit Mutuel Arkéa, Ronan Le Moal intéresserait toutes les institutions financières, qui éprouvent à l’heure actuelle énormément de difficultés pour la cerner. L’acquisition de Pumpkin s’avère être la stratégie idéale pour s’attacher les services de cette clientèle absorbée par le mobile, assure-t-il.
Une expérience communautaire
La fintech a été mise en œuvre en 2014 par trois étudiants dont Hugo Sallé de Chou et Constantin Wolform de l’Edhec et Victor Lenne de Supinfo. Avec Pumpkin, les trois étudiants ont réussi à mettre sur pied une solution moderne de paiement qui sera très vite adoptée par les usagers. A l’instar des codes utilisés par les réseaux sociaux les auteurs de la fintech ont voulu doter leur 250.000 utilisateurs d’une expérience communautaire.
Ainsi, il serait permis aux usagers de pouvoir effectuer des commentaires lors de leurs transactions et les rendre public s’ils en ont l’envi. Avec une telle approche, la progression de la fintech s’effectue de manière exponentielle doublant ses utilisateurs presque chaque six mois contre des prix d’acquisitions chiffrés à 1,5 euros par nouvel utilisateur. A ce jour Pumpkin supporterait près de 5 millions d’euros de transaction mensuelle avec à la clef prés de 75 % de sa clientèle qui l’utilise 4 fois par mois. Un rythme que semble vouloir accroître le Consortium Wolform qui prétend vouloir booster les transactions à un rythme de 4 fois par jour.
La fintech a été mise en œuvre en 2014 par trois étudiants dont Hugo Sallé de Chou et Constantin Wolform de l’Edhec et Victor Lenne de Supinfo. Avec Pumpkin, les trois étudiants ont réussi à mettre sur pied une solution moderne de paiement qui sera très vite adoptée par les usagers. A l’instar des codes utilisés par les réseaux sociaux les auteurs de la fintech ont voulu doter leur 250.000 utilisateurs d’une expérience communautaire.
Ainsi, il serait permis aux usagers de pouvoir effectuer des commentaires lors de leurs transactions et les rendre public s’ils en ont l’envi. Avec une telle approche, la progression de la fintech s’effectue de manière exponentielle doublant ses utilisateurs presque chaque six mois contre des prix d’acquisitions chiffrés à 1,5 euros par nouvel utilisateur. A ce jour Pumpkin supporterait près de 5 millions d’euros de transaction mensuelle avec à la clef prés de 75 % de sa clientèle qui l’utilise 4 fois par mois. Un rythme que semble vouloir accroître le Consortium Wolform qui prétend vouloir booster les transactions à un rythme de 4 fois par jour.
15 millions d'euros d’investissements sur les trois ans venir pour Arkéa
Avec les résultats records enregistrés par sa concurrente française Lydia qui a multiplié le nombre de ses utilisateurs en l’espace d’une année pour les porter à 900.000, l’acquéreur principal de la finctech prévoit d’investir 15 millions d’euros sur les trois à venir, destinés particulièrement à supporter les activités de sa néobanque.
Pumpki ambitionne aussi d’étendre ses tentacules dès l’année suivante afin d’explorer d’autres secteurs du marché européen, mais pour le moment, elle va devoir évoluer avec une carte bancaire, avant de pouvoir songe r à terme de proposer une offre complète comprenant une émission de cartes de paiements collaboratives et personnalisées, mais aussi, il y aura une émission de RIB ou pour une meilleure gestion de son budget, l’intégration d’un gestionnaire de finances personnelles.
Avec les résultats records enregistrés par sa concurrente française Lydia qui a multiplié le nombre de ses utilisateurs en l’espace d’une année pour les porter à 900.000, l’acquéreur principal de la finctech prévoit d’investir 15 millions d’euros sur les trois à venir, destinés particulièrement à supporter les activités de sa néobanque.
Pumpki ambitionne aussi d’étendre ses tentacules dès l’année suivante afin d’explorer d’autres secteurs du marché européen, mais pour le moment, elle va devoir évoluer avec une carte bancaire, avant de pouvoir songe r à terme de proposer une offre complète comprenant une émission de cartes de paiements collaboratives et personnalisées, mais aussi, il y aura une émission de RIB ou pour une meilleure gestion de son budget, l’intégration d’un gestionnaire de finances personnelles.
Recourir à des briques de services de fintechs
Dans l’optique d’une meilleure gestion de ses fonds, qui commencent à devenir un peu conséquent du fait de l’accroissement fulgurant du nombre d’utilisateurs, Hugo Sallé de Chou estime que Pumpkin devrait songer à prendre appui sur les aptitudes techniques d’Arhéa et des filiales, mais aussi elle peut éventuellement recourir aux briques de services de fintech qui gravitent dans l’orbite d’Arkéa.
Pour ce faire, Pumpkin va s'appuyer sur les capacités techniques d'Arkéa et de ses filiales comme elle le fait déjà pour cantonner ses fonds, les sécuriser et les gérer. Mais elle pourra aussi aller chercher des briques de services de fintechs gravitant dans l'orbite de la banque. Une stratégie intéressante d’autant plus les fintech peuvent tisser des collaborations entre elles afin de s’assurer une éventuelle complémentarité pour satisfaire leurs clients.
Dans l’optique d’une meilleure gestion de ses fonds, qui commencent à devenir un peu conséquent du fait de l’accroissement fulgurant du nombre d’utilisateurs, Hugo Sallé de Chou estime que Pumpkin devrait songer à prendre appui sur les aptitudes techniques d’Arhéa et des filiales, mais aussi elle peut éventuellement recourir aux briques de services de fintech qui gravitent dans l’orbite d’Arkéa.
Pour ce faire, Pumpkin va s'appuyer sur les capacités techniques d'Arkéa et de ses filiales comme elle le fait déjà pour cantonner ses fonds, les sécuriser et les gérer. Mais elle pourra aussi aller chercher des briques de services de fintechs gravitant dans l'orbite de la banque. Une stratégie intéressante d’autant plus les fintech peuvent tisser des collaborations entre elles afin de s’assurer une éventuelle complémentarité pour satisfaire leurs clients.
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