Le géant de l’internet Google va procéder à la suppression de certaines données de ses utilisateurs au bout d’une certaine période. Cette annonce a été faite par le PDG de Google, Sundar Pichai, ce mercredi 24 juin. En effet, l’historique de certaines activités des utilisateurs d Google, Google Maps et YouTube sera automatiquement supprimé en dépassant une certaine période. Avant l’annonce de cette information, l’utilisateur qui se connecte avec son compte Google et l’utiliser sur la plateforme ou pour la recherche d’une vidéo sur YouTube, avait la possibilité que Google conserve ses données et cela suivant ses paramètres. Avec cette fonctionnalité, c’était possible pour Google de savoir le lieu où on a été ces 6 derniers mois par exemple et de savoir ce que l’on a regardé et ce que l’on a cherché.
Les nouvelles donnes
À partir de ce mercredi, tout utilisateur qui crée un nouveau compte verra ses activités liées à ce nouveau compte supprimées automatiquement et cela après dix-huit mois. Pour Google Maps aussi ce sera le même paramétrage avec une suppression des données au bout de dix-huit mois. Pour YouTube ce sera après trente-six mois. Cette fonctionnalité peut être modifiée par l’utilisateur. En effet, il est possible que la plateforme ne garde aucune donnée de l’historique de l’utilisateur ou bien l’utilisateur décide de tout archiver. Toutefois, le PDG affirme que les règles d’utilisation qui ont été déjà aux utilisateurs précédents ne seront pas affectées.
La portée économique des données
C’est une décision qui a une portée économique considérable. En effet, le Géant de l’internet s’active dans le domaine de l’exploitation de données personnelles. De ce fait, Google ne renonce pas forcément à la collecte de ces données, il demande juste aux utilisateurs de choisir la date de conservation de ces données et leur date de péremption.
C’est une décision qui vient en réponse à la pression politique et légale sur la façon dont Google traite les informations et données personnelles de ses utilisateurs. Cette pression est notée au États-Unis mais aussi en Europe. En effet, en Europe la loi ne permet à Google que de conserver les données pour une date précise et justifiée et tout cela en permettant à ses utilisateurs d’avoir le pouvoir de supprimer ces données quand ils le veulent. Il faut noter que cela a une répercussion économique conséquente pour Google avec la sanction de 50 millions d’euros prononcée par le conseil d'État en France contre Google.
Les nouvelles donnes
À partir de ce mercredi, tout utilisateur qui crée un nouveau compte verra ses activités liées à ce nouveau compte supprimées automatiquement et cela après dix-huit mois. Pour Google Maps aussi ce sera le même paramétrage avec une suppression des données au bout de dix-huit mois. Pour YouTube ce sera après trente-six mois. Cette fonctionnalité peut être modifiée par l’utilisateur. En effet, il est possible que la plateforme ne garde aucune donnée de l’historique de l’utilisateur ou bien l’utilisateur décide de tout archiver. Toutefois, le PDG affirme que les règles d’utilisation qui ont été déjà aux utilisateurs précédents ne seront pas affectées.
La portée économique des données
C’est une décision qui a une portée économique considérable. En effet, le Géant de l’internet s’active dans le domaine de l’exploitation de données personnelles. De ce fait, Google ne renonce pas forcément à la collecte de ces données, il demande juste aux utilisateurs de choisir la date de conservation de ces données et leur date de péremption.
C’est une décision qui vient en réponse à la pression politique et légale sur la façon dont Google traite les informations et données personnelles de ses utilisateurs. Cette pression est notée au États-Unis mais aussi en Europe. En effet, en Europe la loi ne permet à Google que de conserver les données pour une date précise et justifiée et tout cela en permettant à ses utilisateurs d’avoir le pouvoir de supprimer ces données quand ils le veulent. Il faut noter que cela a une répercussion économique conséquente pour Google avec la sanction de 50 millions d’euros prononcée par le conseil d'État en France contre Google.
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