Kering a annoncé une baisse de 4% de son chiffre d'affaires au quatrième trimestre en données comparables, une performance jugée rassurante par le marché. Malgré une contraction, le recul est moins prononcé que celui enregistré au trimestre précédent (-9%), notamment en raison d'une amélioration séquentielle en Amérique du Nord et en Europe de l'Ouest.
Performance des marques
Les ventes de la marque phare Gucci ont reculé de 4% en données comparables, une amélioration par rapport au trimestre précédent (-7%). Les autres marques telles que Yves Saint Laurent (-5%) et Bottega Veneta (-4%) ont également connu un recul, mais de manière moins marquée qu'au troisième trimestre.
Le marché a réagi positivement à cette annonce, avec une hausse de 3,6% de l'action Kering à la Bourse de Paris, atteignant 404,3 euros à 11h07, tandis que le CAC 40 gagnait 0,61% au même moment.
Défis dans le secteur du luxe
Le secteur du luxe fait face à des défis, notamment un ralentissement de la demande en Europe et aux États-Unis, ainsi qu'une reprise timide en Chine, traditionnellement moteur de la croissance de l'industrie. Kering doit également relever le défi du ralentissement de Gucci, qui représente la moitié de son chiffre d'affaires.
Kering envisage des investissements visant à assurer la croissance à long terme de ses marques. Cependant, ces investissements auront un impact sur la rentabilité en 2024. Le résultat opérationnel courant devrait être en recul par rapport à 2023, en particulier au premier semestre, en raison de la normalisation de la croissance du secteur et des dépenses planifiées.
Perspectives encourageantes pour Gucci
Malgré ces défis, l'accueil réservé aux collections du directeur artistique Sabato de Sarno est qualifié de "définitivement très encourageant" par le directeur général adjoint Jean-Marc Duplaix. La relance de Gucci reste une priorité pour le groupe.
La performance de Kering contraste avec celle de son rival LVMH, qui a annoncé la semaine dernière une croissance organique de 10% de son chiffre d'affaires au quatrième trimestre. Hermès, un autre concurrent, publiera ses résultats vendredi.
Les ventes de la marque phare Gucci ont reculé de 4% en données comparables, une amélioration par rapport au trimestre précédent (-7%). Les autres marques telles que Yves Saint Laurent (-5%) et Bottega Veneta (-4%) ont également connu un recul, mais de manière moins marquée qu'au troisième trimestre.
Le marché a réagi positivement à cette annonce, avec une hausse de 3,6% de l'action Kering à la Bourse de Paris, atteignant 404,3 euros à 11h07, tandis que le CAC 40 gagnait 0,61% au même moment.
Défis dans le secteur du luxe
Le secteur du luxe fait face à des défis, notamment un ralentissement de la demande en Europe et aux États-Unis, ainsi qu'une reprise timide en Chine, traditionnellement moteur de la croissance de l'industrie. Kering doit également relever le défi du ralentissement de Gucci, qui représente la moitié de son chiffre d'affaires.
Kering envisage des investissements visant à assurer la croissance à long terme de ses marques. Cependant, ces investissements auront un impact sur la rentabilité en 2024. Le résultat opérationnel courant devrait être en recul par rapport à 2023, en particulier au premier semestre, en raison de la normalisation de la croissance du secteur et des dépenses planifiées.
Perspectives encourageantes pour Gucci
Malgré ces défis, l'accueil réservé aux collections du directeur artistique Sabato de Sarno est qualifié de "définitivement très encourageant" par le directeur général adjoint Jean-Marc Duplaix. La relance de Gucci reste une priorité pour le groupe.
La performance de Kering contraste avec celle de son rival LVMH, qui a annoncé la semaine dernière une croissance organique de 10% de son chiffre d'affaires au quatrième trimestre. Hermès, un autre concurrent, publiera ses résultats vendredi.
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