Organisation et ressources humaines
Cette semaine, Stellantis a marqué une étape importante en inaugurant son premier centre d'économie circulaire à Turin, dans le nord de l'Italie. Le complexe historique de Mirafiori, berceau de la Fiat 500, accueille désormais ce centre dédié à la rénovation de voitures d'occasion et à la récupération de pièces usagées. Avec un investissement initial de 40 millions d’euros, ce Hub emploiera environ 550 personnes d'ici 2025.
Expansion Globale et Impact Positif
Stellantis ne s'arrête pas là et prévoit de reproduire ce modèle dans d'autres régions du monde. Carlos Tavares, PDG de Stellantis, souligne l'impact positif de ces activités sur la planète, tout en générant de la valeur financière pour l'entreprise. La firme envisage aussi la création de centres spécialisés de plus petite taille.
Le centre de Mirafiori s'occupe également du développement de batteries pour véhicules électriques, s'inscrivant dans l'objectif de Stellantis de générer plus de deux milliards d’euros de chiffre d'affaires grâce à l'économie circulaire d'ici 2030. Les voitures reconditionnées et les pièces rénovées seront distribuées via le réseau Stellantis, en cohérence avec leur engagement pour la neutralité carbone d'ici 2038.
Stellantis ne s'arrête pas là et prévoit de reproduire ce modèle dans d'autres régions du monde. Carlos Tavares, PDG de Stellantis, souligne l'impact positif de ces activités sur la planète, tout en générant de la valeur financière pour l'entreprise. La firme envisage aussi la création de centres spécialisés de plus petite taille.
Le centre de Mirafiori s'occupe également du développement de batteries pour véhicules électriques, s'inscrivant dans l'objectif de Stellantis de générer plus de deux milliards d’euros de chiffre d'affaires grâce à l'économie circulaire d'ici 2030. Les voitures reconditionnées et les pièces rénovées seront distribuées via le réseau Stellantis, en cohérence avec leur engagement pour la neutralité carbone d'ici 2038.
Renault : Un Parcours Parallèle en France
Renault, de son côté, s'engage également dans l'économie circulaire. En France, l'entreprise a transformé son site historique de Flins en un centre dédié. L'objectif est d'atteindre un chiffre d'affaires d'un milliard d'euros dans ce secteur d'ici 2030, en se concentrant sur le reconditionnement de véhicules.
Face à l'augmentation prévue des voitures électriques sur les routes – estimée à 350 millions d'ici 2030 contre 16,5 millions en 2021 selon l’AIE –, le recyclage des batteries devient un enjeu majeur pour l'industrie automobile. Stellantis et Renault, avec leurs initiatives respectives, montrent leur volonté de répondre à ce défi tout en adoptant des pratiques plus durables.
Renault, de son côté, s'engage également dans l'économie circulaire. En France, l'entreprise a transformé son site historique de Flins en un centre dédié. L'objectif est d'atteindre un chiffre d'affaires d'un milliard d'euros dans ce secteur d'ici 2030, en se concentrant sur le reconditionnement de véhicules.
Face à l'augmentation prévue des voitures électriques sur les routes – estimée à 350 millions d'ici 2030 contre 16,5 millions en 2021 selon l’AIE –, le recyclage des batteries devient un enjeu majeur pour l'industrie automobile. Stellantis et Renault, avec leurs initiatives respectives, montrent leur volonté de répondre à ce défi tout en adoptant des pratiques plus durables.
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