Organisation et ressources humaines
Voyant l’essor de son E-commerce et un bénéfice de 1,73 milliard d’euros noter en 2020 contre 1,48 milliard d’euros en 2019 due à la crise sanitaire, le géant suédois en de l’ameublement aspire à devenir le plus grand site E-commerce malgré la fermeture de certains de ses magasins physiques. C’est dans cette optique que le géant Ikea s’est mis dans la construction d’une plateforme qui se situe dans le port de Limay dans les Yvelines qui lui permettra d’entreposer ses produits pour la vente en ligne.
Un entrepôt qui sera fin prêt en 2026, dans lequel 120 millions d’euros ont été investis, qui créera 400, voir 500 emplois et qui s’étend sur un terrain de 16 hectares.
Le fonctionnement de celui-ci est des plus simples. Après avoir passé commandes sur le site internet, celles-ci seront préparées par le centre logistique de Limay et envoyées en péniche pour les clients se trouvant en Île-de-France, en Normandie et pour une partie de la Bretagne.
Ensuite les camions se chargeront de faire la livraison chez les différents clients dans chaque ville et région.
Le développement du E-commerce lors de la crise sanitaire
Grâce à la pandémie, Ikea dont 80% de ses ventes sont dues aux magasins physiques en 2020, se voit dans l’obligation de fermer 75% de ceux-ci et de ne compter que sur ces ventes en lignes qui s’est de plus en plus développés à cause des différentes restrictions prises.
Profitant de la crise sanitaire et des confinements, Ikea a vu les visites et la vente en ligne grimpée. Ainsi il passe de 10% de vente en 2019 à 16% en 2020 grâce au secteur de l’ameublement qui s’est bien développé de par l’intérêt des français pour leur décoration d’intérieur lors de l’envol du télétravail.
Malgré une augmentation de son chiffre d’affaires en ligne qui se trouve être multiplié par quatre pendant ces trois dernières années, Ikea se retrouve face à un grand problème de concurrence. Une situation à laquelle les critiques dues aux problèmes de livraison et retard de remboursement n’arrange pas.
Devenue le 3ème site e-commerce le plus utilisé par les français selon Foxintelligence, Ikea compte bien garder cette place dorénavant avec une stratégie post-Covid qui consiste à investir 250 millions d’euros en France dont la moitié sera dédiée au digital mais également à l’environnement.
Un entrepôt qui sera fin prêt en 2026, dans lequel 120 millions d’euros ont été investis, qui créera 400, voir 500 emplois et qui s’étend sur un terrain de 16 hectares.
Le fonctionnement de celui-ci est des plus simples. Après avoir passé commandes sur le site internet, celles-ci seront préparées par le centre logistique de Limay et envoyées en péniche pour les clients se trouvant en Île-de-France, en Normandie et pour une partie de la Bretagne.
Ensuite les camions se chargeront de faire la livraison chez les différents clients dans chaque ville et région.
Le développement du E-commerce lors de la crise sanitaire
Grâce à la pandémie, Ikea dont 80% de ses ventes sont dues aux magasins physiques en 2020, se voit dans l’obligation de fermer 75% de ceux-ci et de ne compter que sur ces ventes en lignes qui s’est de plus en plus développés à cause des différentes restrictions prises.
Profitant de la crise sanitaire et des confinements, Ikea a vu les visites et la vente en ligne grimpée. Ainsi il passe de 10% de vente en 2019 à 16% en 2020 grâce au secteur de l’ameublement qui s’est bien développé de par l’intérêt des français pour leur décoration d’intérieur lors de l’envol du télétravail.
Malgré une augmentation de son chiffre d’affaires en ligne qui se trouve être multiplié par quatre pendant ces trois dernières années, Ikea se retrouve face à un grand problème de concurrence. Une situation à laquelle les critiques dues aux problèmes de livraison et retard de remboursement n’arrange pas.
Devenue le 3ème site e-commerce le plus utilisé par les français selon Foxintelligence, Ikea compte bien garder cette place dorénavant avec une stratégie post-Covid qui consiste à investir 250 millions d’euros en France dont la moitié sera dédiée au digital mais également à l’environnement.
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