Le Level 5 de Lift devient le 21 avril 2021 une partie de Woven Planet Holdings pour une valeur de 550 millions de dollars dont 200 millions ont déjà été reversés à Lift et dont les 350 millions de dollars restants seront échelonnés sur les 5 prochaines années.
Une acquisition de talents
En effet cette acquisition a pour seul but de récupérer les ingénieurs logiciels et scientifiques qui se trouvent à la division Level 5, portant à 1 200 le nombre de personnes dans la nouvelle équipe de Toyota, ce qui lui permet d’être présent autant à Tokyo, à Palo Alto et à Londres.
Un projet dont la filiale Woven Planet et plus précisément le CEO James Kuffner, ancien ingénieur de Google spécialisé dans la robotique et les systèmes de conduite autonome aura la charge. Ce qui porte au nombre de deux les projets confiés à Woven Planet dont celui de smart city qui verra jour au pied du mont Fuji et maintenant celui des véhicules connectés à distance.
Un partenariat entre TOYOTA et Lift pour l’utilisation de son système de VTC
Toyota à la tête de la division Level 5 assurera les recherches sur les véhicules autonomes et profitera également du système VTC de Lift. En effet grâce au partenariat commercial signé entre Lyft et Woven Planet, ils pourront utiliser la plateforme de gestion des VTC et les données de celui-ci pour permettre un rapide déploiement de la nouvelle technologie de conduite autonome qu’est le service de robots taxis.
La focalisation de Lift sur son activité de VTC
Afin de mieux se concentrer sur les activités dont il a la pleine maîtrise qui sont la gestion du service VTC et la relation avec les clients, Lift s’est associé avec la coentreprise de Hynundai et Aptiv, Motional qui continueront à travailler sur les avancées dans le véhicule autonome. Désormais c’est Motional qui se chargera se déployer les services de robots taxis à partir de 2023 et ce dans plusieurs villes.
Un choix judicieux qu’a fait Lift en se séparant de la R&D qui représentait un investissement coûteux dont son concurrent en a aussi fait les frais et qui finalement a préféré revendre après l’arrêt des travaux dus à un accident mortel en mars 2018.
Une passation qui représente une opportunité pour Lift de pouvoir non seulement se concentrer sur la réalisation de ses objectifs de rentabilité en recevant de l’argent mais également de se séparer d’une division qui lui occasionnait des dépenses inutiles. Un apport qui sera d’un grand secours pendant ce temps de crise sanitaire qui limite les déplacements.
Une acquisition de talents
En effet cette acquisition a pour seul but de récupérer les ingénieurs logiciels et scientifiques qui se trouvent à la division Level 5, portant à 1 200 le nombre de personnes dans la nouvelle équipe de Toyota, ce qui lui permet d’être présent autant à Tokyo, à Palo Alto et à Londres.
Un projet dont la filiale Woven Planet et plus précisément le CEO James Kuffner, ancien ingénieur de Google spécialisé dans la robotique et les systèmes de conduite autonome aura la charge. Ce qui porte au nombre de deux les projets confiés à Woven Planet dont celui de smart city qui verra jour au pied du mont Fuji et maintenant celui des véhicules connectés à distance.
Un partenariat entre TOYOTA et Lift pour l’utilisation de son système de VTC
Toyota à la tête de la division Level 5 assurera les recherches sur les véhicules autonomes et profitera également du système VTC de Lift. En effet grâce au partenariat commercial signé entre Lyft et Woven Planet, ils pourront utiliser la plateforme de gestion des VTC et les données de celui-ci pour permettre un rapide déploiement de la nouvelle technologie de conduite autonome qu’est le service de robots taxis.
La focalisation de Lift sur son activité de VTC
Afin de mieux se concentrer sur les activités dont il a la pleine maîtrise qui sont la gestion du service VTC et la relation avec les clients, Lift s’est associé avec la coentreprise de Hynundai et Aptiv, Motional qui continueront à travailler sur les avancées dans le véhicule autonome. Désormais c’est Motional qui se chargera se déployer les services de robots taxis à partir de 2023 et ce dans plusieurs villes.
Un choix judicieux qu’a fait Lift en se séparant de la R&D qui représentait un investissement coûteux dont son concurrent en a aussi fait les frais et qui finalement a préféré revendre après l’arrêt des travaux dus à un accident mortel en mars 2018.
Une passation qui représente une opportunité pour Lift de pouvoir non seulement se concentrer sur la réalisation de ses objectifs de rentabilité en recevant de l’argent mais également de se séparer d’une division qui lui occasionnait des dépenses inutiles. Un apport qui sera d’un grand secours pendant ce temps de crise sanitaire qui limite les déplacements.
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