Selon un sondage mené en ligne auprès de 400 employeurs par le site d’emploi CareerBuilder, alors que 95 % des entreprises françaises ont l’intention de recruter des jeunes diplômés sortis de l’université cette année, seul un employeur sur cinq (18 %) pense que ces établissements d’enseignement préparent correctement les étudiants à occuper des postes au sein de leur organisation.
Interrogés sur les compétences qui manquent aux jeunes diplômés sortis de l'université, près de la moitié des employeurs interrogés (49 %) cite les qualités relationnelles. Parmi les autres compétences qui manquent aux étudiants fraîchement sortis de la fac se trouvent le travail d’équipe (43 %), la capacité à résoudre des problèmes (38 %), la communication écrite (37 %), la communication orale (35 %), la créativité (31 %), la gestion de projet (23 %), la recherche et l’analyse (23 %), le leadership (21 %), la technique et les ordinateurs (15 %) et les maths (10 %). « Si presque toutes les entreprises françaises ont l’intention d’embaucher des jeunes diplômés, une large majorité ne pense pas que les étudiants soient assez préparés à la vie active, note Tony Roy, Président CareerBuilder EMEA. Ces résultats mettent en avant la nécessité pour les entreprises de travailler plus étroitement avec les établissements universitaires afin de s’assurer que les étudiants acquièrent les compétences dont les entreprises en croissance ont besoin. »
En France, les entreprises pensent que les meilleurs diplômes à décrocher pour les étudiants sont les diplômes en commerce et business, 23 % des employeurs les citant comme les diplômes les plus demandés dans leur groupe. Ils sont suivis des technologies de la communication (20 %) et des sciences de l’information et l’informatique (15 %). Les diplômes d’ingénieurs sont aussi très plébiscités (12 %), l’enseignement/formation (11 %) et les diplômes en sciences sociales (10 %) arrivant en fin de classement.
Les entreprises recherchent principalement des jeunes diplômés pour occuper des postes dans les technologies de l’information (31 %) et le service client (26 %). Les opportunités sont aussi nombreuses dans le développement des affaires (25 %) et la finance et comptabilité (24 %). Les ressources humaines (22 %) complètent ce top 5. Près d’un quart des entreprises (24 %) ayant l’intention d’embaucher de jeunes diplômés proposera des salaires à l’embauche plus élevés que l’an dernier. Une majorité des employeurs (55 %), pense que les salaires vont stagner, et 21 % s’attendent à proposer des salaires à l’embauche moins élevés.
Toutefois, les salaires ne sont pas complètement figés : la plupart des employeurs (70 %) disent être prêts à négocier la rémunération lorsqu’ils ouvrent un poste aux jeunes diplômés. Une large majorité des entreprises (89 %) ayant l’intention de recruter de jeunes diplômés accepte de négocier ou de leur proposer divers avantages.
En France, les entreprises pensent que les meilleurs diplômes à décrocher pour les étudiants sont les diplômes en commerce et business, 23 % des employeurs les citant comme les diplômes les plus demandés dans leur groupe. Ils sont suivis des technologies de la communication (20 %) et des sciences de l’information et l’informatique (15 %). Les diplômes d’ingénieurs sont aussi très plébiscités (12 %), l’enseignement/formation (11 %) et les diplômes en sciences sociales (10 %) arrivant en fin de classement.
Les entreprises recherchent principalement des jeunes diplômés pour occuper des postes dans les technologies de l’information (31 %) et le service client (26 %). Les opportunités sont aussi nombreuses dans le développement des affaires (25 %) et la finance et comptabilité (24 %). Les ressources humaines (22 %) complètent ce top 5. Près d’un quart des entreprises (24 %) ayant l’intention d’embaucher de jeunes diplômés proposera des salaires à l’embauche plus élevés que l’an dernier. Une majorité des employeurs (55 %), pense que les salaires vont stagner, et 21 % s’attendent à proposer des salaires à l’embauche moins élevés.
Toutefois, les salaires ne sont pas complètement figés : la plupart des employeurs (70 %) disent être prêts à négocier la rémunération lorsqu’ils ouvrent un poste aux jeunes diplômés. Une large majorité des entreprises (89 %) ayant l’intention de recruter de jeunes diplômés accepte de négocier ou de leur proposer divers avantages.
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