2014 est placé sur fond de transparence et de communication. Autour d’une mise en scène ou d’un support spécifique, les décideurs parlent. L’inconsistance des propos tout comme l’Art de la parole n’ont jamais eu autant de place.
Les AfterWork, un moyen de communiquer pour mieux décider
Les rencontres thématiques informelles après le travail appelées AfterWork rencontrent aujourd’hui un très grand succès parmi cadres, dirigeants, chefs d’entreprises et étudiants,… Souvent dans un bar branché ou dans un palace, ces rencontres d’un moment sont souvent importantes pour prendre du recul sur une situation. Autour d’un verre, les langues se délient. L’ambiance est détendue et le style est informel.
Bien souvent, on présente son activité, on raconte ses expériences, et indique son intérêt pour venir à ces AfterWork. A l’écoute d’un auditoire que l’on n’est pas certain de revoir un jour, l’effet miroir est une source à la fois de créativité et d’orientation dans les sujets business quotidiens. C’est une manière également de se tenir au courant des affaires du moment pour un dirigeant ou un commercial.
Il arrive aussi de plus en plus fréquemment que de beaux parleurs, entonnent des expériences très positives, des succès d’une entreprise ou d’une activité. C’est arrivé dernièrement lors d’un AfterWork organisé dans le triangle d’or parisien qui réunissait des diplômés d’une école d’ingénieurs. Quelle stupéfaction d’entendre une ascension impressionnante, avec peu de moyens et beaucoup d’ingéniosité. Et l’intéressé cherchait des financements type love money pour l’aider dans sa croissante à deux ou trois chiffres. Après vérification le lendemain sur internet, cette entreprise cherchait évidemment de l’argent, mais pour rembourser de grosses dettes accumulées avec une erreur de stratégie.
Alors il est évident qu’il faille se méfier de personnes au grand sourire qui recherchent des pigeons.
Flou artistique, flou politique, porteur du néant
Les politiques comme de grands lobbyistes et hommes d’affaires savent très bien utiliser leur bagout et propager des rumeurs ou des informations à première vue précise et convainquante, mais qui finalement laisse planer un gros doute.
La langue de bois fait de plus en plus son retour sur la scène dans une visibilité des affaires incertaine et un climat politique dominé par la crise qui n’en finit pas. Selon le Monde Magazine du 11 janvier 2014, les postes de porte-parole sont particulièrement exposés avec ce maniement de la langue si compliqué. Le porte-parole du Gouvernement a un visage : « être jeune et malin, télégénique, avec des dents longues et immaculées ». Pourtant, certains se sont cassé quelques dents sur le carrelage de l’Elysée compte-tenu de l’activité politique très tendue.
Depuis quelques mois, la langue de bois n’est plus un tabou. C’est un peu comme l’addiction à la cigarette : « demain j’arrête », mais quelques jours plus tard, la promesse n’est pas tenue. Des livres fleurissent, comme celui de M. Jean-François Copé, qui arrête la langue de bois. Madame Vallaud-Belkacem, qui flotte dans sa réponse lorsqu’elle est interrogée sur la langue de bois : « je ne dis pas tout ce que je pense, mais je pense ce que je dis » d’indiquer que pour ne pas s’exposer, il semble plus adroit de la fermer.
Les rencontres thématiques informelles après le travail appelées AfterWork rencontrent aujourd’hui un très grand succès parmi cadres, dirigeants, chefs d’entreprises et étudiants,… Souvent dans un bar branché ou dans un palace, ces rencontres d’un moment sont souvent importantes pour prendre du recul sur une situation. Autour d’un verre, les langues se délient. L’ambiance est détendue et le style est informel.
Bien souvent, on présente son activité, on raconte ses expériences, et indique son intérêt pour venir à ces AfterWork. A l’écoute d’un auditoire que l’on n’est pas certain de revoir un jour, l’effet miroir est une source à la fois de créativité et d’orientation dans les sujets business quotidiens. C’est une manière également de se tenir au courant des affaires du moment pour un dirigeant ou un commercial.
Il arrive aussi de plus en plus fréquemment que de beaux parleurs, entonnent des expériences très positives, des succès d’une entreprise ou d’une activité. C’est arrivé dernièrement lors d’un AfterWork organisé dans le triangle d’or parisien qui réunissait des diplômés d’une école d’ingénieurs. Quelle stupéfaction d’entendre une ascension impressionnante, avec peu de moyens et beaucoup d’ingéniosité. Et l’intéressé cherchait des financements type love money pour l’aider dans sa croissante à deux ou trois chiffres. Après vérification le lendemain sur internet, cette entreprise cherchait évidemment de l’argent, mais pour rembourser de grosses dettes accumulées avec une erreur de stratégie.
Alors il est évident qu’il faille se méfier de personnes au grand sourire qui recherchent des pigeons.
Flou artistique, flou politique, porteur du néant
Les politiques comme de grands lobbyistes et hommes d’affaires savent très bien utiliser leur bagout et propager des rumeurs ou des informations à première vue précise et convainquante, mais qui finalement laisse planer un gros doute.
La langue de bois fait de plus en plus son retour sur la scène dans une visibilité des affaires incertaine et un climat politique dominé par la crise qui n’en finit pas. Selon le Monde Magazine du 11 janvier 2014, les postes de porte-parole sont particulièrement exposés avec ce maniement de la langue si compliqué. Le porte-parole du Gouvernement a un visage : « être jeune et malin, télégénique, avec des dents longues et immaculées ». Pourtant, certains se sont cassé quelques dents sur le carrelage de l’Elysée compte-tenu de l’activité politique très tendue.
Depuis quelques mois, la langue de bois n’est plus un tabou. C’est un peu comme l’addiction à la cigarette : « demain j’arrête », mais quelques jours plus tard, la promesse n’est pas tenue. Des livres fleurissent, comme celui de M. Jean-François Copé, qui arrête la langue de bois. Madame Vallaud-Belkacem, qui flotte dans sa réponse lorsqu’elle est interrogée sur la langue de bois : « je ne dis pas tout ce que je pense, mais je pense ce que je dis » d’indiquer que pour ne pas s’exposer, il semble plus adroit de la fermer.
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