L’enseigne n’a pas été épargnée par le Covid 19 et le confinement. Elle devra rayer 7000 emplois au trimestre prochain, axés sur les volontaires et par des retraites anticipées. Les consommateurs, en raison des difficultés de déplacement liées au Covid, préfèrent acheter en ligne. Les branches les plus impactées seront les travailleurs basés en Grande Bretagne et les cadres qui seront remplacés par des postes sur la vente en ligne. Steve Rowe avait promis dès fin Avril, une stratégie adaptative, dans environnement commercial post Covid en pleine mutation. Il avait par ailleurs annoncé un assouplissement des méthodes de vente et d’achat et une direction plus malléable.
-10 % de croissance au troisième trimestre
La chaine de distribution a enregistré une perte de 10% dans l’intervalle Juin-Aout. Les vêtements et les produits à usage domestique (ses points forts), sont les plus affectés (avec - 29,9%). Cette situation résulte malheureusement de la fuite des espaces publics due à la pandémie. Par contre les activités en ligne ont flambé avec +39, 2%, Mark & Spencer ayant eu la bonne idée de se rabattre sur la vente en ligne. Elle a noté une nouvelle habitude de consommation : les achats d’habillement sont plus axés sur les tenues d’intérieur ou de loisir car beaucoup d’entreprises anglaises ont opté pour le travail à distance. Son chiffre d’affaires sur les produits alimentaires a aussi évolué de 2.5%.
Le groupe est optimiste sur sa récente association avec Ocado. Elle se consacrera dès le mois prochain à la commercialisation en ligne de produits alimentaires. Ça sera un baptême de feu pour celle qui, jusque-là, n’avait jamais investi dans le domaine.
La pandémie a beaucoup affecté le secteur commercial. La stratégie de beaucoup d’enseignes consistait à multiplier les lieux de vente, alors que les services en ligne sont le nouveau recours pour le respect de la distanciation sociale.
Les difficultés du secteur de la restauration sont aussi palpables avec la suppression de beaucoup de postes. Debenhams, avec ses 14 000 employés, tente de se révéler d’une banqueroute déclarée au début du second semestre 2020 et qui l’a contraint à se séparer d’une grande partie de son effectif. Elle vient de recruter Hilo pour l’accompagner dans un probable éclatement. La mise en chômage partielle qui supportait 9.6 millions d’employés était le dernier recours pour beaucoup d’organisations britanniques. Son retrait en fin Octobre inquiète sérieusement.
-10 % de croissance au troisième trimestre
La chaine de distribution a enregistré une perte de 10% dans l’intervalle Juin-Aout. Les vêtements et les produits à usage domestique (ses points forts), sont les plus affectés (avec - 29,9%). Cette situation résulte malheureusement de la fuite des espaces publics due à la pandémie. Par contre les activités en ligne ont flambé avec +39, 2%, Mark & Spencer ayant eu la bonne idée de se rabattre sur la vente en ligne. Elle a noté une nouvelle habitude de consommation : les achats d’habillement sont plus axés sur les tenues d’intérieur ou de loisir car beaucoup d’entreprises anglaises ont opté pour le travail à distance. Son chiffre d’affaires sur les produits alimentaires a aussi évolué de 2.5%.
Le groupe est optimiste sur sa récente association avec Ocado. Elle se consacrera dès le mois prochain à la commercialisation en ligne de produits alimentaires. Ça sera un baptême de feu pour celle qui, jusque-là, n’avait jamais investi dans le domaine.
La pandémie a beaucoup affecté le secteur commercial. La stratégie de beaucoup d’enseignes consistait à multiplier les lieux de vente, alors que les services en ligne sont le nouveau recours pour le respect de la distanciation sociale.
Les difficultés du secteur de la restauration sont aussi palpables avec la suppression de beaucoup de postes. Debenhams, avec ses 14 000 employés, tente de se révéler d’une banqueroute déclarée au début du second semestre 2020 et qui l’a contraint à se séparer d’une grande partie de son effectif. Elle vient de recruter Hilo pour l’accompagner dans un probable éclatement. La mise en chômage partielle qui supportait 9.6 millions d’employés était le dernier recours pour beaucoup d’organisations britanniques. Son retrait en fin Octobre inquiète sérieusement.
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