Du nouveau dans le monde de la télécommunication avec notamment une acquisition de part dans le groupe britannique vodafone de 2.5% par le propriétaire de free. Une intégration qui sera sans doute suivie par d’autres actions de la part de Xavier Niel. Un invité du nom de Xavier Niel, fondateur et patron de free au capital de l'opérateur télécoms britanniques Vodafone.
Avec une annonce de l’acquisition de part au capital du groupe vodafone de 2,5%, le propriétaire et patron de free Xavier Niel poursuit dans sa haute lancée d’expansion et d’internationalisation de son empire.
En s’appuyant sur son holding nommé Atlas Investment, Xavier Niel à contribuer à son expansion en obtenant une partie du capital de Vodafone, une des grandes figures de la télécommunication britannique. Une figure estimée à une valeur en livre sterling de 30 milliards soit 34,3 milliards d'euros à la Bourse de Londres. Une petite part de vodafone qui s’élève à environ 750 millions de livres (859 millions d'euros). Ce qui sans doute a entrainé une hausse du titre de Vodafone.
En s’appuyant sur son holding nommé Atlas Investment, Xavier Niel à contribuer à son expansion en obtenant une partie du capital de Vodafone, une des grandes figures de la télécommunication britannique. Une figure estimée à une valeur en livre sterling de 30 milliards soit 34,3 milliards d'euros à la Bourse de Londres. Une petite part de vodafone qui s’élève à environ 750 millions de livres (859 millions d'euros). Ce qui sans doute a entrainé une hausse du titre de Vodafone.
Les intérêts pour Xavier Niel
Avec une première tentative de rachat d’une des filiales de vodafone raté, Xavier Niel a opté pour une intégration du groupe qui certainement va lui ouvrir plusieurs portes et lui faciliter l’atteinte de ses objectifs. L’une de ces holdings, principalement celui par lequel il a intégré vodafone à laisser entendre qu'il existe «des opportunités pour accélérer la rationalisation des activités de Vodafone et la séparation de ses actifs d'infrastructures ».
En intégrant le groupe britannique, Xavier Niel pourrait donc peser sur des décisions stratégiques portant d'une part sur ses filiales à l'étranger, dont la très convoitée italienne. Il pourrait également user de sa nouvelle position pour influer dans les décisions de Vodafone. Ainsi il pourra contrecarrer toute décision qui consiste à fragiliser ses filiales.
Avec une première tentative de rachat d’une des filiales de vodafone raté, Xavier Niel a opté pour une intégration du groupe qui certainement va lui ouvrir plusieurs portes et lui faciliter l’atteinte de ses objectifs. L’une de ces holdings, principalement celui par lequel il a intégré vodafone à laisser entendre qu'il existe «des opportunités pour accélérer la rationalisation des activités de Vodafone et la séparation de ses actifs d'infrastructures ».
En intégrant le groupe britannique, Xavier Niel pourrait donc peser sur des décisions stratégiques portant d'une part sur ses filiales à l'étranger, dont la très convoitée italienne. Il pourrait également user de sa nouvelle position pour influer dans les décisions de Vodafone. Ainsi il pourra contrecarrer toute décision qui consiste à fragiliser ses filiales.
Bouygues Telecom fragilisé
Contrairement à Xavier Niel, Patrick Drahi détient lui 18% du capital de l'opérateur historique. Ainsi, Xavier Niel rejoint Patrick Drahi au sein du groupe britannique. Dans un processus d’internationalisation que font aujourd’hui les opérateurs de télécommunication, Bouygues Telecom semble faible vis-à-vis de ses concurrents car étant seul à ne pas s’internationaliser. Nous avons tout le contraire de ce que fait Orange en se développant un peu partout dans les 4 coins du monde à savoir en Europe, en Afrique, en Israël... Cela peu fragiliser bouygues surtout s’il commence à perdre les clients de son unique marché qu’est la France au profit d’autres grand opérateurs.
Contrairement à Xavier Niel, Patrick Drahi détient lui 18% du capital de l'opérateur historique. Ainsi, Xavier Niel rejoint Patrick Drahi au sein du groupe britannique. Dans un processus d’internationalisation que font aujourd’hui les opérateurs de télécommunication, Bouygues Telecom semble faible vis-à-vis de ses concurrents car étant seul à ne pas s’internationaliser. Nous avons tout le contraire de ce que fait Orange en se développant un peu partout dans les 4 coins du monde à savoir en Europe, en Afrique, en Israël... Cela peu fragiliser bouygues surtout s’il commence à perdre les clients de son unique marché qu’est la France au profit d’autres grand opérateurs.
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