Les américains n’agréent pas le rachat par Nvidia d’ARM

 
ARM ne fait pas exception, comme toutes les entreprises. Elle vérifie sans relâche son plan d’activités pour se convaincre que l’entreprise a l’équilibre, entre performances, investissements et discipline financière.

Le groupe pourtant, dans sa déclaration essaie de justifier des suppressions d’emplois. Un accord entre SoftBank group et Nvidia en février, mettait un terme à la vente à ce dernier d’ARM, fabricant britannique de microprocesseurs. Des obstacles réglementaires importants sont à l’origine de l’échec.
 

Sur les tables, un retour en bourse d’ARM à l’horizon 2023

 
Le magnat japonais gros investisseur dans les nouvelles technologies envisage de réintroduire en bourse ARM d’ici fin mars 2023. Il avait été acquis pour 32 milliards de dollars en 2016. Il ne démord pas pour autant et renoue avec son plan initial, celui de céder ARM à Nvidia. Révélé en 2020, il devait se concrétiser en début d’année. Malheureusement il y’a eu des désaccords et des incompréhensions, des réticences d’autorités règlementaires, notamment le Royaume-Uni, l'Union Européenne et les Etats-Unis troublés par une position trop centrale de Nvidia dans le secteur.

En termes d’architectures des microprocesseurs fabriqués sous licence et présents dans tous les smartphones, les tablettes et les écrans TV numérique etc…Pour SoftBank group, le manque à gagner est énorme, au départ le prix de vente d’ARM était de 40 milliards de dollars et sa valeur avait beaucoup augmenté.
Pendant la pandémie du coronavirus, Nvidia a vu ses ventes connaître une grande augmentation. Pour raison de confinement, l'utilisation des jeux avait connu une augmentation jamais égalée.