Le secteur de l’automobile est un marché très concurrentiel et en perpétuelle évolution. On peut le remarquer aussi bien au niveau de la construction d’automobiles que dans le secteur des équipements.
En réaction aux nouvelles donnes du marché, certaines usines optent généralement pour une fusion, tandis que d’autres n’ont autre choix que de mettre la clé sur la porte. Tel est le cas d’une usine allemande du groupe américain Johnson Controls installée à la frontière franco-allemande.
Une perte de contrats en mise de mire
Confrontée à une rude concurrence dans le secteur de la fabrication des sièges d’automobiles, une usine allemande jette l’éponge. En effet, la filiale du groupe Johnson Controls de Neuenbourg a annoncé la fermeture de l’usine le 31 décembre prochain. Cette entreprise qui employait déjà 360 salariés, dont 200 employés français, vient de perdre deux contrats majeurs. Ce qui a inévitablement impacté ses activités et son développement.
En effet, le site filial du groupe Johnson Controls desservait déjà depuis des années les usines PSA de Mulhouse et de Sochaux. Située à seulement quelques kilomètres de la frontière française du côté de l’Alsace, la filiale du groupe américain pouvait livrer ces deux marchés sans problème. Mais avec l’évolution du marché, elle doit désormais faire face à deux filiales de la société française Faurecia.
Confrontée à une rude concurrence dans le secteur de la fabrication des sièges d’automobiles, une usine allemande jette l’éponge. En effet, la filiale du groupe Johnson Controls de Neuenbourg a annoncé la fermeture de l’usine le 31 décembre prochain. Cette entreprise qui employait déjà 360 salariés, dont 200 employés français, vient de perdre deux contrats majeurs. Ce qui a inévitablement impacté ses activités et son développement.
En effet, le site filial du groupe Johnson Controls desservait déjà depuis des années les usines PSA de Mulhouse et de Sochaux. Située à seulement quelques kilomètres de la frontière française du côté de l’Alsace, la filiale du groupe américain pouvait livrer ces deux marchés sans problème. Mais avec l’évolution du marché, elle doit désormais faire face à deux filiales de la société française Faurecia.
Sielest et Siedoubs raflent les nouveaux contrats avec les usines PSA
Sielest et Siedoubs sont les filiales de la société Faurecia, spécialisée dans la confection d’équipements automobiles. Situées à proximité des sites de Mulhouse et de Sochaux, ces deux succursales se chargeront désormais d’approvisionner ces deux usines PSA. Il faut rappeler qu’il s’agit simplement d’un compte à rebours, puisque ces deux contrats avaient été déjà octroyés en 2008 à l’usine allemande au détriment des deux filiales de l’équipementier français.
Sielest et Siedoubs sont les filiales de la société Faurecia, spécialisée dans la confection d’équipements automobiles. Situées à proximité des sites de Mulhouse et de Sochaux, ces deux succursales se chargeront désormais d’approvisionner ces deux usines PSA. Il faut rappeler qu’il s’agit simplement d’un compte à rebours, puisque ces deux contrats avaient été déjà octroyés en 2008 à l’usine allemande au détriment des deux filiales de l’équipementier français.
Un arrêt d’activité dû à une raison politique selon les syndicats
Les syndicats allemands, mécontents, pensent que la fermeture de leur usine est motivée par une raison politique. Selon eux, l’arrêt des activités de l’usine serait lié à la volonté de l’Etat français de réduire le taux de chômage en France. Cela est d’autant plus probable, selon ces derniers, du fait que l’Etat est le principal actionnaire de la société Faurecia. Cela est confirmé par M. Bittner, le représentant du syndicat de l’usine allemande, qui ne voit aucune raison valable quant à la fermeture de l’usine.
Désormais, les deux filiales de la société française Faurecia devront pouvoir gérer 450 contrats pour une durée indéterminée.
Les syndicats allemands, mécontents, pensent que la fermeture de leur usine est motivée par une raison politique. Selon eux, l’arrêt des activités de l’usine serait lié à la volonté de l’Etat français de réduire le taux de chômage en France. Cela est d’autant plus probable, selon ces derniers, du fait que l’Etat est le principal actionnaire de la société Faurecia. Cela est confirmé par M. Bittner, le représentant du syndicat de l’usine allemande, qui ne voit aucune raison valable quant à la fermeture de l’usine.
Désormais, les deux filiales de la société française Faurecia devront pouvoir gérer 450 contrats pour une durée indéterminée.
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