Depuis son rachat par un riche industriel chinois, la marque de voiture Volvo est entrée dans une phase de restructuration sans précédent avec à la clef une importante décision qui vient secouer le monde de l’automobile. La marque a tout simplement affirmé sa volonté de stopper définitivement la construction de voitures à moteurs thermiques, une décision qui se concrétise à travers le projet ambitieux du groupe qui veut mettre en circulation des voitures dotées de moteurs hybrides ou électriques. En décidant de rompre avec une vielle tradition séculaire concernant le bloc de moteur, qui a toujours été son fusil d’épaule, le groupe devient ipso facto, le premier fabricant automobile à avoir sonné la révolte technologique dans le secteur. Une décision qualifiée d’historique par le PDG de Volvo, Hakan Samuelson, qui depuis Göteborg, a laisser entendre que le groupe en dehors du fait de vouloir satisfaire la forte demande de ses clients songe aussi à devenir davantage écologique par le biais d’une réduction conséquente de ses émissions de CO2.
Une course contre la montre
A en croire la président-directeur général de Volvo, des mutations profondes ont secoué le secteur de l’automobile avec notamment la baisse du prix des batteries et d’un autre côté l’ascension fulgurante des technologies de recharge. Par voie de conséquence, le groupe gagnerait à s’adapter vite s’il ne souhaite pas être distancé par le reste du peloton. Une telle décision a été rendue public par le groupe depuis le mois de mai.
Le constructeur de voiture a affiché ses objectifs d’ici 2025 et souhaiterais commercialiser 1 million de voitures hybride. Il s’agira de proposer dans le segment 2019-2021, 5 modèles de voiture hybride. Les trois premiers modèles seront frappés du sceau Volvo tandis que les deux restants évolueront sous la nouvelle marque « performance » Polestar. L’assemblage du premier modèle s’effectuera en Chine, tandis que le reste des montages à effectuer sera réalisé en Europe ou aux USA.
A en croire la président-directeur général de Volvo, des mutations profondes ont secoué le secteur de l’automobile avec notamment la baisse du prix des batteries et d’un autre côté l’ascension fulgurante des technologies de recharge. Par voie de conséquence, le groupe gagnerait à s’adapter vite s’il ne souhaite pas être distancé par le reste du peloton. Une telle décision a été rendue public par le groupe depuis le mois de mai.
Le constructeur de voiture a affiché ses objectifs d’ici 2025 et souhaiterais commercialiser 1 million de voitures hybride. Il s’agira de proposer dans le segment 2019-2021, 5 modèles de voiture hybride. Les trois premiers modèles seront frappés du sceau Volvo tandis que les deux restants évolueront sous la nouvelle marque « performance » Polestar. L’assemblage du premier modèle s’effectuera en Chine, tandis que le reste des montages à effectuer sera réalisé en Europe ou aux USA.
Une transition progressive
L’annonce de cette nouvelle politique de construction de véhicules à moteur hybride ne signifie nullement l’arrêt spontané de la vente des véhicules à moteur diesel ou essence. Le groupe prévoit en effet de commercialiser les véhicules dotés d’un moteur thermique dont la conception n’a pas dépassé la date fatidique. Le groupe souhaite cependant en finir d’ici 2023, si la vitesse de production et de renouvellement de sa gamme reste constante, selon l’avis expert de Henrik Green, le directeur R&D du groupe. Dans le même sillage, il informe que les deux futures plateformes de fabricant de voitures seront aptes à contenir les différents types de moteurs électriques, tout en offrant un cadre propice à l’assemblage de ces derniers.
D’après l’avis expert d’Ian Fletcher, analyste chez IHS, Volvo a porté un sacré coup à ses concurrents qui depuis longtemps tentent d’alterner les deux tendances. Un changement radical sans nul doute commandité par le nouveau boss de Volvo, qui souhaite sonner la révolution avec l’avènement d’une nouvelle technologie capable de réduire le niveau de pollution en Chine. Avec l’arrivée d’une nouvelle équipe dirigeante, la marque Volvo semble opérer une renaissance et caresserait même le rêve de pouvoir un jour oser la concurrence avec les grands du milieu de l’automobile d’autant plus que les moyens ne font pas défaut.
L’annonce de cette nouvelle politique de construction de véhicules à moteur hybride ne signifie nullement l’arrêt spontané de la vente des véhicules à moteur diesel ou essence. Le groupe prévoit en effet de commercialiser les véhicules dotés d’un moteur thermique dont la conception n’a pas dépassé la date fatidique. Le groupe souhaite cependant en finir d’ici 2023, si la vitesse de production et de renouvellement de sa gamme reste constante, selon l’avis expert de Henrik Green, le directeur R&D du groupe. Dans le même sillage, il informe que les deux futures plateformes de fabricant de voitures seront aptes à contenir les différents types de moteurs électriques, tout en offrant un cadre propice à l’assemblage de ces derniers.
D’après l’avis expert d’Ian Fletcher, analyste chez IHS, Volvo a porté un sacré coup à ses concurrents qui depuis longtemps tentent d’alterner les deux tendances. Un changement radical sans nul doute commandité par le nouveau boss de Volvo, qui souhaite sonner la révolution avec l’avènement d’une nouvelle technologie capable de réduire le niveau de pollution en Chine. Avec l’arrivée d’une nouvelle équipe dirigeante, la marque Volvo semble opérer une renaissance et caresserait même le rêve de pouvoir un jour oser la concurrence avec les grands du milieu de l’automobile d’autant plus que les moyens ne font pas défaut.
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