Organisation et ressources humaines
Par l’annonce de résultats supérieurs aux attentes au deuxième trimestre, suite à un niveau d’activité record dans la banque d’investissement, crédit agricole SA s’est hissé jeudi au même niveau que ses concurrents français BNP Paribas et Société générale.
À un moment où les analystes attendaient approximativement 1,18 milliards, son bénéfice net sur le trimestre passé s’est élevé à 1,98 milliards d’euros. Également au-dessus des prévisions, son produit net bancaire qui a accompli une hausse de près de 9% à 6,33 milliards d’euros contre un consensus d’analystes établi à 5,73 milliards d’euros.
La direction de la banque signale que l’activité a été on ne peut plus soutenue dans la banque d’investissement non sans reconnaître que l’activité a été dynamique dans l’ensemble des métiers. L’activité de la banque de financement et d’investissement (BFI) a connu des niveaux record avec des revenus sous-jacents en hausse de 22%. La révélation est du crédit agricole qui fait remarquer que la volatilité des marchés a causé une forte demande de couverture de la part des clients.
Une baisse du coût du risque pour revigorer les comptes
Ses revenus ont augmenté de 36,9% dans les activités taux, devises, et matières premières (FICC). Alors qu’au premier trimestre les provisions liées à son exposition à la Russie et à l’Ukraine avaient éprouvé ses résultats, les comptes du crédit agricole SA ont profité d’une baisse de plus de 27% du coût du risque sur la période.
Au premier trimestre malgré une déception, la solvabilité de la deuxième banque française par la capitalisation boursière a fait du progrès à fin juin moyennant un ratio en hausse de 30 points de base à 1,30%. Crédit agricole SA lors de la présentation de sa nouvelle feuille de route stratégique en juin dernier a dit avoir comme objectif un résultat net dépassant 6 milliards d’euros en 2025. De même qu’un retour sur fonds propre supérieur à 12%. La banque a à l’occasion révélée tenir une trajectoire de développement très longue en Italie qui est son deuxième marché après la France. D’ailleurs le crédit agricole y a nouvellement racheté Credito Valtellinese et gagné une participation de 9,2% dans la troisième banque italienne Banco BPM.
Ses revenus ont augmenté de 36,9% dans les activités taux, devises, et matières premières (FICC). Alors qu’au premier trimestre les provisions liées à son exposition à la Russie et à l’Ukraine avaient éprouvé ses résultats, les comptes du crédit agricole SA ont profité d’une baisse de plus de 27% du coût du risque sur la période.
Au premier trimestre malgré une déception, la solvabilité de la deuxième banque française par la capitalisation boursière a fait du progrès à fin juin moyennant un ratio en hausse de 30 points de base à 1,30%. Crédit agricole SA lors de la présentation de sa nouvelle feuille de route stratégique en juin dernier a dit avoir comme objectif un résultat net dépassant 6 milliards d’euros en 2025. De même qu’un retour sur fonds propre supérieur à 12%. La banque a à l’occasion révélée tenir une trajectoire de développement très longue en Italie qui est son deuxième marché après la France. D’ailleurs le crédit agricole y a nouvellement racheté Credito Valtellinese et gagné une participation de 9,2% dans la troisième banque italienne Banco BPM.
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