Le nouveau président américain Donald Trump ne voit pas d’un bon œil la production et la conception massive qui sont faites en Chine par plusieurs entreprises américaines. C’est dans ce sens qu’Apple a sollicité la contribution de ses deux partenaires asiatiques que sont Foxconn et Pegatron dans le cadre d’une étude d’un projet portant sur l’implantation aux Etats-Unis une usine d’assemblage.
Un choix vers la Chine toujours décrié
Bien que Donald Trump ait lors de sa campagne présidentielle, ouvertement montré sa frustration de voir délocalisées en Chine les activités de production du groupe à la pomme Apple, il n’est cependant pas le seul à l’avoir fait.
Barack Obama en son temps l’avait également fait. Il s’était en effet senti obligé de critiquer Apple pour avoir exporté en Chine sa production d’iPhones, d’iMac et d’iPads. Depuis lors, certains emplois ont pu être ramenés en Californie.
Est-ce pour autant que tout s’accélérerait sous l’air Trump ? A en croire Nikkei, un quotidien japonais, Appel aurait récemment commandé à Foxconn, un de ses sous-traitants taïwanais, d’effectuer une étude en vue de l’implantation sur le sol américain d’une usine d’assemblage d’iPhones et non plus en Chine. Foxconn aurait accepté de faire cette étude. Cependant, Pegatron, un autre taïwanais au service d’Apple ne partagerait pas cette idée.
Bien que Donald Trump ait lors de sa campagne présidentielle, ouvertement montré sa frustration de voir délocalisées en Chine les activités de production du groupe à la pomme Apple, il n’est cependant pas le seul à l’avoir fait.
Barack Obama en son temps l’avait également fait. Il s’était en effet senti obligé de critiquer Apple pour avoir exporté en Chine sa production d’iPhones, d’iMac et d’iPads. Depuis lors, certains emplois ont pu être ramenés en Californie.
Est-ce pour autant que tout s’accélérerait sous l’air Trump ? A en croire Nikkei, un quotidien japonais, Appel aurait récemment commandé à Foxconn, un de ses sous-traitants taïwanais, d’effectuer une étude en vue de l’implantation sur le sol américain d’une usine d’assemblage d’iPhones et non plus en Chine. Foxconn aurait accepté de faire cette étude. Cependant, Pegatron, un autre taïwanais au service d’Apple ne partagerait pas cette idée.
Des couts de production plus onéreux aux USA qu’en Chine
Avec tout le personnel qu’Appel compte déjà à son actif aux USA, s’il faudrait y ajouter un hypothétique retour de l’entièreté de ses usines de production et le tout jumelé à des couts de production beaucoup trop élevés comparativement à la Chine, l’entreprise se verrait dans l’obligation d’augmenter les tarifs de ses articles.
C’est d’ailleurs ce qui en découle des explications données à ce sujet par l’analyste Patrick Moorhead, lors d’un passe sur la chaine CNBC, il estimait que : « si Appel produisait ses iPhones aux Etats-Unis, les couts de production augmenteraient de 66% avec pour effet direct le tarif d’un appareil qui passerait de 690 à 1.150 dollars.
Il est important de souligner que Appel aux USA c’est déjà plus de 76.000 employés. Avec notamment une usine de production de MacBook dans le Texas, une autre usine pour produire des composants de Smartphone dans l’Arizona.
Avec tout le personnel qu’Appel compte déjà à son actif aux USA, s’il faudrait y ajouter un hypothétique retour de l’entièreté de ses usines de production et le tout jumelé à des couts de production beaucoup trop élevés comparativement à la Chine, l’entreprise se verrait dans l’obligation d’augmenter les tarifs de ses articles.
C’est d’ailleurs ce qui en découle des explications données à ce sujet par l’analyste Patrick Moorhead, lors d’un passe sur la chaine CNBC, il estimait que : « si Appel produisait ses iPhones aux Etats-Unis, les couts de production augmenteraient de 66% avec pour effet direct le tarif d’un appareil qui passerait de 690 à 1.150 dollars.
Il est important de souligner que Appel aux USA c’est déjà plus de 76.000 employés. Avec notamment une usine de production de MacBook dans le Texas, une autre usine pour produire des composants de Smartphone dans l’Arizona.
Un rapatriement qui sera bien encadré
Donald Trump ne s’est pas limité à demander que les unités de production des entreprises américaines reviennent produire aux USA sans pour autant leurs garantir certains mesures d’encadrement visant à favoriser leurs activités.
Le président nouvellement élu a ainsi souhaité que soit instauré un guichet fiscal spécial qui visera à donner aux entreprises des gages de compétitivité et de conditions uniques pour le retour de leurs grosses mannes financières.
Apple et beaucoup d'entreprises laissent l’essentiel de leur fortune à l’étranger afin d’échapper à des gros impôts susceptible d’atteindre les 40% lors d’un rapatriement de fond.
Mais pour réussir à convaincre les entreprises, Donald Trump a promis lors de sa campagne de faire passer l’impôt sur les sociétés de 35 à 15%. De quoi faire réfléchir certaine d’entre elles.
Donald Trump ne s’est pas limité à demander que les unités de production des entreprises américaines reviennent produire aux USA sans pour autant leurs garantir certains mesures d’encadrement visant à favoriser leurs activités.
Le président nouvellement élu a ainsi souhaité que soit instauré un guichet fiscal spécial qui visera à donner aux entreprises des gages de compétitivité et de conditions uniques pour le retour de leurs grosses mannes financières.
Apple et beaucoup d'entreprises laissent l’essentiel de leur fortune à l’étranger afin d’échapper à des gros impôts susceptible d’atteindre les 40% lors d’un rapatriement de fond.
Mais pour réussir à convaincre les entreprises, Donald Trump a promis lors de sa campagne de faire passer l’impôt sur les sociétés de 35 à 15%. De quoi faire réfléchir certaine d’entre elles.
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