Opel vient de changer de possesseur après 88 ans. L’enseigne allemande délaisse le constructeur américain General Motors et passe totalement à la possession ce mardi 1er août de PSA. Cette opération est évaluée au montant de 1,32 milliard d’euros.
PSA domine le marché de l’automobile
L’enseigne tricolore va renforcer les résultats dégagés par le concessionnaire de Rüsselsheim et de la marque britannique Vauxhall au niveau des comptes du second semestre de cette année. Suite à la lettre d’acte de volonté visé au début du mois de mars, PSA qui conservera son nom, est au sommet de cinq enseignes d’automobiles. Il reste juste à finaliser la transaction au niveau d’Opel Bank, pour un montant de 460 millions, qui doit être autorisé par les dirigeants européens de la concurrence.
Le groupe tricolore est très fier de proclamer sa suprématie sur le marché de l’automobile français, en prétendant détenir 31% des parts du marché des voitures et utilitaires, et 22% du marché espagnol. Il se place à la seconde place en Allemagne avec 11%, et 17% sur le marché britannique, en Italie, il prétend détenir 14%. Sur l’ensemble sur marché européen, PSA se positionne au second rang juste après Volkswagen, en détenant 17% de la part du marché.
C’est un moment crucial, puisque Opel doit penser à un plan de relance d’après le chargé de communication du groupe français. PSA va donner à Opel la gestion avec le nouveau directeur général allemand Michael Lohscheller. Mais dès à présent, le groupe français positionne au niveau des postes stratégiques dans l’administration. Le présent directeur de la politique industrielle PSA Remi Girardon va devenir directeur industriel du groupe Opel. Le présent directeur chargé de contrôle de gestion de PSA Philippe Rovira est devenu directeur financier. Opel et PSA tablent sur une capitalisation de 1,1 milliard d’euros par année d’ici 2019.
L’enseigne tricolore va renforcer les résultats dégagés par le concessionnaire de Rüsselsheim et de la marque britannique Vauxhall au niveau des comptes du second semestre de cette année. Suite à la lettre d’acte de volonté visé au début du mois de mars, PSA qui conservera son nom, est au sommet de cinq enseignes d’automobiles. Il reste juste à finaliser la transaction au niveau d’Opel Bank, pour un montant de 460 millions, qui doit être autorisé par les dirigeants européens de la concurrence.
Le groupe tricolore est très fier de proclamer sa suprématie sur le marché de l’automobile français, en prétendant détenir 31% des parts du marché des voitures et utilitaires, et 22% du marché espagnol. Il se place à la seconde place en Allemagne avec 11%, et 17% sur le marché britannique, en Italie, il prétend détenir 14%. Sur l’ensemble sur marché européen, PSA se positionne au second rang juste après Volkswagen, en détenant 17% de la part du marché.
C’est un moment crucial, puisque Opel doit penser à un plan de relance d’après le chargé de communication du groupe français. PSA va donner à Opel la gestion avec le nouveau directeur général allemand Michael Lohscheller. Mais dès à présent, le groupe français positionne au niveau des postes stratégiques dans l’administration. Le présent directeur de la politique industrielle PSA Remi Girardon va devenir directeur industriel du groupe Opel. Le présent directeur chargé de contrôle de gestion de PSA Philippe Rovira est devenu directeur financier. Opel et PSA tablent sur une capitalisation de 1,1 milliard d’euros par année d’ici 2019.
Un plan de relance pour Opel
D’ici 2019, plus de la moitié des voitures d’Opel sera d’origine PSA. En guise d’exemple, le petit SUV Opel Crossland X est une parfaite copie du Citroën C3 Aircross. Après l’été va venir le modèle Opel Grandland X, qui est tiré du Peugeot 3008. Et pour la fin de cette année, une génération d’utilitaires légers nouvellement conçue va prendre la place des Citroen Berlingo et Peugeot Partner.
L’objectif principal d’Opel est d’obtenir un débit de trésorerie satisfaisant et une marge opérationnelle de près de 2% qui est relativement faible.
PSA souhaite imposer à Opel les stratégies qui lui ont permis de se relancer de façon spectaculaire. Le groupe tricolore a obtenu 7% un taux exploit de rentabilité lors du premier semestre contre 6,6 pour l’année passée. Le résultat d’exploitation de PSA est évalué à près de 2 milliards d’euros le premier trimestre contre 1,8 milliard l’année passée. Du côté du bénéfice net, le groupe parvient à atteindre 1,25 milliard. Le pôle d’automobile a affiché une marge 7,3% contre seulement 6,8% un an avant. Les résultats obtenus pour une entreprise qui était presque en faillite en 2013 sont vraiment marquants.
D’ici 2019, plus de la moitié des voitures d’Opel sera d’origine PSA. En guise d’exemple, le petit SUV Opel Crossland X est une parfaite copie du Citroën C3 Aircross. Après l’été va venir le modèle Opel Grandland X, qui est tiré du Peugeot 3008. Et pour la fin de cette année, une génération d’utilitaires légers nouvellement conçue va prendre la place des Citroen Berlingo et Peugeot Partner.
L’objectif principal d’Opel est d’obtenir un débit de trésorerie satisfaisant et une marge opérationnelle de près de 2% qui est relativement faible.
PSA souhaite imposer à Opel les stratégies qui lui ont permis de se relancer de façon spectaculaire. Le groupe tricolore a obtenu 7% un taux exploit de rentabilité lors du premier semestre contre 6,6 pour l’année passée. Le résultat d’exploitation de PSA est évalué à près de 2 milliards d’euros le premier trimestre contre 1,8 milliard l’année passée. Du côté du bénéfice net, le groupe parvient à atteindre 1,25 milliard. Le pôle d’automobile a affiché une marge 7,3% contre seulement 6,8% un an avant. Les résultats obtenus pour une entreprise qui était presque en faillite en 2013 sont vraiment marquants.
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