Une nouvelle stratégie serait en cours de préparation du côté de la SNCF en vue de donner une impulsion au train à grande vitesse destiné au transport national. Depuis plusieurs années en effet, le trafic domestique a soit évolué à la baisse, soit est resté constant, engendra ainsi des pertes financières pour la compagnie. Selon certaines sources proches de l’information, vendredi, il sera question pour la SNCF de présenter ces résultats pour le compte du premier semestre de l’année. Pour la première fois toutes ces années passées, le trafic a connu une hausse de 8,4%.
Des changements à l’origine du retour vers la croissance
Beaucoup de nouvelles offres ont été fait au début de cette année par la SNCF pour tenter de rentabiliser à nouveau toutes ces lignes intérieures. Destinée aux moins de 26 ans, le forfait illimité TGV max a démarré en janvier et ses apports sont considérables. Environ 90.000 abonnés à cette formule auraient selon la Société, fait une réservation de 1,5 millions de voyages rien que de janvier à mai de la même année. En dehors d ces éléments, on peut aussi souligner que la compagnie dispose d’une politique en matière des prix qui conduit parfois à des hausses ou multiplication des tarifs pendant certaines périodes de l’année.
On a donc pu observer grâce à cette pratique, un taux de remplissage des cabines en nette augmentation d’environ 4 points. On remarque ainsi des TGV avec des rames déjà toutes pleines et en plus beaucoup de jour avant les dates. Les finances de la société seront bien sûr les premières à profiter de ce retour vers la croissance. Cependant, beaucoup s’accordent à dire que ce petit pas ne pourra rien faire pour tirer vers le haut toute une structure en sérieux déclin depuis toutes ces dernières années.
Beaucoup de nouvelles offres ont été fait au début de cette année par la SNCF pour tenter de rentabiliser à nouveau toutes ces lignes intérieures. Destinée aux moins de 26 ans, le forfait illimité TGV max a démarré en janvier et ses apports sont considérables. Environ 90.000 abonnés à cette formule auraient selon la Société, fait une réservation de 1,5 millions de voyages rien que de janvier à mai de la même année. En dehors d ces éléments, on peut aussi souligner que la compagnie dispose d’une politique en matière des prix qui conduit parfois à des hausses ou multiplication des tarifs pendant certaines périodes de l’année.
On a donc pu observer grâce à cette pratique, un taux de remplissage des cabines en nette augmentation d’environ 4 points. On remarque ainsi des TGV avec des rames déjà toutes pleines et en plus beaucoup de jour avant les dates. Les finances de la société seront bien sûr les premières à profiter de ce retour vers la croissance. Cependant, beaucoup s’accordent à dire que ce petit pas ne pourra rien faire pour tirer vers le haut toute une structure en sérieux déclin depuis toutes ces dernières années.
Un nouveau plan devrait donc s’imposer
Elle est bien loin l’époque durant laquelle le TGV était la locomotive des activités financières de la SNCF. Depuis, chaque année qui passe, semble assombrir davantage le destin de la compagnie et de son moyen de transport ferroviaire. Plusieurs facteurs sont en effet à l’origine des difficultés de la SNCF. L’un des plus importants est sans aucun doute les redevances à payer à la compagnie de gestion des infrastructures ferroviaires, la SNCF Réseau à titre de péage. Les droits de circulation des trains ont ainsi augmenté considérablement.
Pendant que le gestionnaire des rails opte pour une augmentation les péages afin de tenter de faire baisser sa propre dette, autour de 40 milliards d’euros aujourd’hui, il impact considérablement sur la note de la compagnie de transport qui voit sa facture s’alourdir tous les ans. 40% de ses revenus de trafic, soit environ 2 milliards d’euros, sont ainsi déboursés chaque année à ce titre. La SNCF pourra désormais compter sur les nouvelles équipes gouvernantes de la France pour apporter des nouvelles stratégies d’ici au printemps 2018. L’idéal serait que toutes ces manœuvres aboutissent à une marge d’environ 20%, soit 700 millions d’euros en plus chaque année.
Elle est bien loin l’époque durant laquelle le TGV était la locomotive des activités financières de la SNCF. Depuis, chaque année qui passe, semble assombrir davantage le destin de la compagnie et de son moyen de transport ferroviaire. Plusieurs facteurs sont en effet à l’origine des difficultés de la SNCF. L’un des plus importants est sans aucun doute les redevances à payer à la compagnie de gestion des infrastructures ferroviaires, la SNCF Réseau à titre de péage. Les droits de circulation des trains ont ainsi augmenté considérablement.
Pendant que le gestionnaire des rails opte pour une augmentation les péages afin de tenter de faire baisser sa propre dette, autour de 40 milliards d’euros aujourd’hui, il impact considérablement sur la note de la compagnie de transport qui voit sa facture s’alourdir tous les ans. 40% de ses revenus de trafic, soit environ 2 milliards d’euros, sont ainsi déboursés chaque année à ce titre. La SNCF pourra désormais compter sur les nouvelles équipes gouvernantes de la France pour apporter des nouvelles stratégies d’ici au printemps 2018. L’idéal serait que toutes ces manœuvres aboutissent à une marge d’environ 20%, soit 700 millions d’euros en plus chaque année.
Dernières notes