Les liens entre les réseaux sociaux et les entreprises sont encore trop distants. Un constat d'autant plus décevant que Deloitte dévoilait il y a peu une étude montrant que l'impact de Facebook sur l'économie française aurait triplé en trois ans.
Les enjeux sont forts pour les entreprises françaises. Mieux intégrer les réseaux sociaux leur permettrait certainement d'améliorer leurs résultats mais, malgré des budgets en hausse, les entreprises peinent à jouer un rôle innovant et performant sur les réseaux sociaux. Une des difficultés rencontrées est la difficulté à mesurer l'impact des réseaux sur l'activité de l'entreprise. Aucune méthode n'apporte la précision ni la rigueur souhaitée : entre le calcul du nombre de followers, du nombre de vues ou encore l'analyse des messages postés, il est très compliqué de mesurer objectivement l'influence des réseaux sociaux. Pourtant, de récentes évolutions montrent que les entreprises commencent à travailler les indicateurs d'engagement et à se dégager des simples analytics de pages vues. Mais là encore, une grille d'évaluation claire manque encore parmi les outils disponibles.
Pourtant, les réseaux sociaux, et notamment Facebook devient un acteur de premier rang, au niveau économique puisque, selon Deloitte, il aurait permis de générer 7 milliards de dollars d'activité économique en France en 2014 ainsi que 78 000 emplois. Selon Les Echos, "Cet « impact » additionne trois éléments : l'impact marketing (3,3 milliards de dollars d'activité générée et 36.000 emplois en France), c'est-à-dire la création de valeur que les entreprises retirent de Facebook en étant présentes sur la plate-forme, celle-ci pouvant leur permettre de mieux cibler leurs clients ou d'accroître leur visibilité (l'exemple de BlaBlaCar, qui concentre 70 % de ses dépenses marketing sur Facebook, est cité par Deloitte); l'effet plate-forme (1,8 milliard de dollars et 27.000 emplois), qui permet à des développeurs d'applications de s'appuyer sur Facebook pour faire croître leur activité (Shazam aurait ainsi augmenté ses revenus de 37 % grâce à la promotion de son application sur le réseau social); et enfin l'effet engendré par Facebook sur la demande en appareils mobiles et en services connectés, l'accès au réseau social étant un argument de vente pour les fabricants (1,6 milliard de dollars et 16.000 emplois créés)."
Par ailleurs, les réseaux sociaux sont plutôt bien intégrés aux pratiques des dirigeants d'entreprise puisque 95% d'entre eux y sont présents, de façon privée. Le baromètre Idaos sur les médias sociaux indiquait en mars 2014 que les 3 réseaux principaux utilisés par les dirigeants et les cadres, que ce soit au niveau privé ou professionnel sont Facebook, Twitter et LinkedIn. Suivent Viadeo, Google+, Pinterest, Instagram et Foursquare.
Pourtant, les réseaux sociaux, et notamment Facebook devient un acteur de premier rang, au niveau économique puisque, selon Deloitte, il aurait permis de générer 7 milliards de dollars d'activité économique en France en 2014 ainsi que 78 000 emplois. Selon Les Echos, "Cet « impact » additionne trois éléments : l'impact marketing (3,3 milliards de dollars d'activité générée et 36.000 emplois en France), c'est-à-dire la création de valeur que les entreprises retirent de Facebook en étant présentes sur la plate-forme, celle-ci pouvant leur permettre de mieux cibler leurs clients ou d'accroître leur visibilité (l'exemple de BlaBlaCar, qui concentre 70 % de ses dépenses marketing sur Facebook, est cité par Deloitte); l'effet plate-forme (1,8 milliard de dollars et 27.000 emplois), qui permet à des développeurs d'applications de s'appuyer sur Facebook pour faire croître leur activité (Shazam aurait ainsi augmenté ses revenus de 37 % grâce à la promotion de son application sur le réseau social); et enfin l'effet engendré par Facebook sur la demande en appareils mobiles et en services connectés, l'accès au réseau social étant un argument de vente pour les fabricants (1,6 milliard de dollars et 16.000 emplois créés)."
Par ailleurs, les réseaux sociaux sont plutôt bien intégrés aux pratiques des dirigeants d'entreprise puisque 95% d'entre eux y sont présents, de façon privée. Le baromètre Idaos sur les médias sociaux indiquait en mars 2014 que les 3 réseaux principaux utilisés par les dirigeants et les cadres, que ce soit au niveau privé ou professionnel sont Facebook, Twitter et LinkedIn. Suivent Viadeo, Google+, Pinterest, Instagram et Foursquare.
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