Suite à la décision prise au mois de mai dernier par Elon Musk, consistant à ne plus accepter le paiement par bitcoin, un revirement de situation vient d’être annoncé. En effet, le patron de Tesla le fabricant américain de véhicules électrique vient d’accepter le paiement par la monnaie virtuelle mais sous certaines conditions. Ces revirements qui sont toujours justifiés par le milliardaire jugé versatile par certains observateurs semblent faire partie d’une stratégie de manipulation du marché de la bourse. Toutefois, Elon Musk nie tout en bloc.

Les signes de la monnaie bitcoin  sont de nouveau vus avec ceux de Tesla

Le compagnonnage entre Tesla et bitcoin n’a pas encore sonné . En revenant sur les faits, on se rappelle que c’est en février que le géant Tesla avait annoncé à ses clients la possibilité qu’ils avaient désormais de payer avec la monnaie virtuelle bitcoin. La décision est devenue opérationnelle fin mars mais cela n’a pas  duré plus de quelques semaines qu’Elon Musk ne se rétracte par "souci de préservation de l'environnement.". Un mois après, il revient pour annoncer l’acceptation à nouveau de cette monnaie mais seulement si  sa devise virtuelle devient moins polluante. Selon lui la garantie requise est l’existence d’une quantité raisonnable d’énergie propre avoisinant les 50 % et avec une tendance à l’évolution. C’est sur son compte Twitter qu’il fait cette annonce avec les conditions susmentionnées.

Une monnaie énergivore

Le bitcoin est une monnaie virtuelle qui est produite par des ordinateurs de grande puissance et qui consomment une grande quantité d’électricité. En réalité, c’est ce qui explique l’argument brandi par Elon Musk. Récemment une étude a pointé du doigt la Chine, principal détenteur des bitcoins au monde, sur les risques environnementaux liés aux gigantesques centrales à charbon qui les alimentent.
Toutefois, certains pensent qu’Elon Musk se sert de ses tweets pour manipuler la valeur des bitcoins et ainsi les cours du marché au bénéfice de son entreprise, même s’il l’a nié. On observe souvent qu’il suffit d’un tweet venant de lui pour tout faire basculer.